27: Lésions traumatiques des tendons fléchisseurs de la main

Chapitre 27 Lésions traumatiques des tendons fléchisseurs de la main




Ce que nous pouvons préciser



Sur le plan anatomo-fonctionnel


Le tendon ne doit plus être considéré comme un élément inerte. Il est capable de cicatriser par lui-même :




Le tissu conjonctif de voisinage « ne demande » qu’à intervenir dans le processus de cicatrisation, et ce d’autant plus que les conditions précédentes ne sont pas remplies : dévascularisation et lésions de surface. Il en résulte des phénomènes adhérentiels plus ou moins labiles.


La conservation et la reconstitution éventuelle de la gaine évitent des adhérences par cicatrisation conjonctive extrinsèque et permettent l’action des tendons par le jeu des poulies (notamment A2 et A4) (figure 27.2). L’idéal est donc, selon Kleinert, une suture atraumatique parfaitement calibrée avec réfection de la gaine et plastie éventuelle d’agrandissement. Cette excision supprime le rôle isolant de la gaine vis-à-vis du conjonctif et crée donc une potentialité adhérentielle plus grande, dont le postopératoire doit particulièrement tenir compte.



Si l’on reprend ce processus zone par zone (figure 27.3) :






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Aug 1, 2017 | Posted by in GÉNÉRAL | Comments Off on 27: Lésions traumatiques des tendons fléchisseurs de la main

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