• des connaissances acquises : par exemple lors de votre formation, vous avez étudié les thèmes sanitaires et sociaux, ou vous avez lu des articles de presse, ou vu des films ou des reportages qui développent ce thème ;

• une expérience personnelle ou professionnelle : par exemple lors d’un stage, vous avez pu échanger sur un tel sujet avec des membres du personnel de soins.

• « Explicite » se dit de ce qui est énoncé complètement et ne peut prêter à aucune contestation (qui est à la fois clair et précis). Exemple « La maltraitance est inacceptable et ne doit pas être acceptée. Qu’en pensez- vous ? » ; « Après avoir défini la maltraitance, vous justifierez ses causes et sa prévention. » Les questions sont très précises. Vous devez pouvoir y apporter des réponses tout aussi précises.

• « Implicite » se dit de ce qui n’est pas énoncé formellement mais qui est convenu virtuellement dans la phrase (qui en découle naturellement). Exemple : « La maltraitance : argumentez ». Dans ce dernier cas, il n’existe pas de question précise et vous ne savez pas sur quels éléments précis doit porter votre argumentation. L’avantage de cette situation, inconfortable au départ, est qu’elle vous permet d’orienter la manière dont vous allez traiter le sujet, au regard de vos connaissances propres. Il est donc judicieux d’exploiter au maximum ce type de sujet

La lecture du sujet vous permettra également de différencier une opinion d’un fait objectif :

• si le sujet est une opinion (par exemple un témoignage), vous vous engagerez alors dans un débat en reprenant les arguments émis, en les développant et en les illustrant d’exemples. Vous devrez prendre position en expliquant votre choix ;

• si le sujet est un fait objectif, vous devrez, soit faire part d’une prise de position nuancée et argumentée (évitez les opinions tranchées), soit expliquer et commenter le sujet en n’oubliant pas de développer l’idée abordée.