CHAPITRE 5 TRAITEMENT DE L’HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉPIDÉMIOLOGIE
La pression artérielle a une distribution unimodale dans la population et augmente avec l’âge. L’hypertension artérielle, dont la définition a varié avec le temps, est un facteur de haut risque cardiovasculaire devant être pris en charge au même titre que les autres facteurs de risques cardiovasculaires. Il existe une relation linéaire entre la pression artérielle et la morbi-mortalité cardiovasculaire à partir de valeurs de 110-115 mmHg pour la pression artérielle systolique (PAD) et 70-75 mmHg pour la pression artérielle diastolique (PAD). Ainsi, la présence d’une hypertension artérielle multiplie par 2 le risque de maladie coronaire, par 3 le risque d’accident vasculaire cérébral, par 4 le risque d’insuffisance cardiaque (Framingham).
Une analyse de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie réalisée en 2007 indique que 10,5 millions de personnes bénéficiaient d’un remboursement d’un antihypertenseur. Pour le Comité Français de Lutte contre l’HTA (CFLHTA), en France 11,2 millions d’hypertendus sont traités en 2010, soit 31 % de la population de plus de 35 ans et dont seulement la moitié sont contrôlés. Dans l’Étude Nationale Nutrition Santé (ENNS 2006/2007), menée selon une autre méthodologie, une hypertension artérielle (≥ 140/90 mmHg) est retrouvée chez 31 % des participants âgés de 18 à 74 ans et plus fréquente chez l’homme que chez la femme. L’estimation de la prévalence de l’hypertension artérielle en France est comprise entre 10 et 15 % de la population générale.
GÉNÉRALITES
La définition de l’hypertension artérielle basée sur des valeurs seuils est arbitraire, mais permet une approche diagnostique et thérapeutique simple. Selon les recommandations de l’ESH/ESC 2007, l’hypertension artérielle est définie lorsque la pression artérielle systolique est > 140 mmHg et/ou lorsque la pression artérielle diastolique > 90 mmHg. L’hypertension doit être classée en trois grades de sévérité (tableau 5.1).
Ces seuils sont ceux d’une mesure de la pression artérielle réalisée au cabinet médical et doivent être adaptés lors d’alternatives à la mesure clinique.
PHYSIOPATHOLOGIE
Définition
La pression artérielle est la pression produite par la contraction du ventricule gauche et fournit la force motrice pour l’écoulement du sang. La pression sanguine est maximale dans les artères et baisse le long de la circulation systémique. Quand le sang arrive dans les veines, la pression est très basse. Le sang revient au cœur par le retour veineux (aidé par les pompes musculaires et respiratoires). En raison de la grande élasticité des artères, la pression artérielle varie au rythme de la révolution cardiaque : lors de la systole ventriculaire, le sang est éjecté dans l’artère aorte qui se dilate : la pression artérielle est maximale : pression artérielle systolique. Lors de la diastole ventriculaire, le ventricule gauche se relâche, la valve aortique empêche le reflux du sang de l’aorte dans le ventricule gauche : la pression est alors minimale, et correspond à la pression artérielle diastolique.
À côté de ces deux valeurs tensionnelles, sont définis d’autres indicateurs de pression. La pression pulsée tout d’abord correspond à la pression différentielle entre pression systolique et diastolique. Sur le profil évolutif de pression artérielle observé au cours de la vie d’un hypertendu, la première élévation constatée à partir de 35-40 ans intéresse le chiffre diastolique – la pression pulsée est alors faible – puis vers 45-50 ans la pression systolique se majore – et donc la pression pulsée aussi – enfin vers 70-75 ans la pression diastolique baisse physiologiquement par perte de l’élasticité artérielle – mais la pression pulsée continue alors de se majorer ! La pression pulsée est un marqueur de risque vasculaire ajouté indépendant et un indicateur supplémentaire souvent proposé dans les essais thérapeutiques des antihypertenseurs.
La pression centrale ensuite correspond au niveau de pression artérielle enregistrée dès l’origine de la racine aortique. Habituellement la valeur des pressions artérielles augmente progressivement jusqu’en périphérie distale et il existe naturellement un décalage entre les mesures de topographie centrale et brachiale du à l’élasticité des parois artérielles. Cette différence s’atténue donc avec l’importance de la rigidité artérielle. Cette évaluation, possible par des moyens non invasifs (tonométrie d’applanation), apporte des données explicatives sur la notion d’effets de classe médicamenteuse, définie par une différence de réduction d’événements cliniques pour un effet équivalent sur la réduction des chiffres tensionnels, support de rédaction des recommandations par les sociétés savantes.
La pression artérielle correspond au produit :
PA = DC × RP (DC : débit cardiaque et RP : résistance périphérique)
Le débit cardiaque est le produit du volume d’éjection systolique par la fréquence cardiaque. Ainsi, la pression artérielle augmente avec le volume d’éjection systolique. Le plus souvent, l’hypertension artérielle est consécutive à l’augmentation des résistances périphériques (plus particulièrement artériolaire, légèrement contracté en permanence par leur innervation sympathique : tonus sympathique).
Mécanismes de régulation de la pression artérielle
Système nerveux autonome
Les barorécepteurs situés dans la paroi de l’aorte et des artères carotides, contrôlent la pression artérielle cérébrale et du reste de l’organisme. Lorsque la pression artérielle varie, des potentiels d’action sont émis jusqu’au centre de contrôle cardio-vasculaire du bulbe et déclenche la réponse appropriée. Les messages efférents cheminent par les neurones sympathiques et parasympathiques.
Système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
Lors d’une baisse de la pression artérielle, des cellules spécifiques de la partie terminale de l’anse de Henle (macula densa) sont sensibles aux variations de la concentration en sodium. En cas de diminution de cette concentration, des cellules musculaires lisses spécialisées de l’artère rénale afférente sécrètent la rénine. Cette enzyme a pour substrat l’angiotensinogène, glycoprotéine produite en permanence par le foie, catalyse l’hydrolyse en angiotensine I. Sous l’influence d’une deuxième protéase, produite par l’endothélium des vaisseaux sanguins : l’enzyme de conversion, transforme l’angiotensine I en angiotensine II. L’angiotensine II se lie aux récepteurs AT1 vasculaires et est responsable de la vasoconstriction. Par ailleurs, l’angiotensine II accroît la synthèse et la libération d’aldostérone par la corticosurrénale. À noter que l’enzyme de conversion inhibe la bradykinine vasodilatatrice.
ASPECTS CLINIQUE ET SÉMÉIOLOGIQUE
Mesure clinique de la pression artérielle
Le diagnostic de l’hypertension artérielle ne peut être fondé que sur des mesures multiples. En général : deux mesures sont effectuées par consultation et au moins deux à trois consultations (sauf dans les cas sévères). La mesure de la pression artérielle au cours d’une consultation est réalisée à l’aide d’un sphygmo-manomètre à mercure à la recherche des bruits de Korotkoff (bruit produit par l’écoulement turbulent du sang dans une artère comprimée) ou à l’aide d’un tensiomètre oscillométrique électronique validé par l’ANSM. Les recommandations pour la mesure de la pression artérielle (ESH 2007) sont les suivantes :
– le patient doit être assis depuis plusieurs minutes, dans une pièce calme, avant de commencer la mesure ;
– pratiquer au moins deux mesures à 1-2 minutes d’intervalle, et répéter les mesures si les deux premières sont très différentes ;
– utiliser un brassard standard (12-13 cm de long et 35 cm de large) mais disposer de brassards plus grands ou plus petits pour les bras gros ou minces, respectivement. Utiliser le plus petit brassard pour les enfants ;
– le brassard doit être au niveau du cœur quelle que soit la position du patient ;
– la PAS et la PAD sont identifiées par les phases I et V de Korotkoff ;
– lors de la première consultation, mesurer la PA aux deux bras pour dépister de possibles différences liées à une pathologie vasculaire. Une différence jusqu’à 2 points est considérée comme physiologique. Pour le suivi, garder comme référence la valeur la plus élevée ;
– mesurer la PA 1 et 5 minutes après le passage en orthostatisme chez les sujets âgés ou diabétiques, et tous ceux chez lesquels il existe un risque d’hypotension orthostatique (chute de la PAS de 20 mmHg et/ou de la PAD de 10 mmHg, une, deux ou trois minutes après l’orthostatisme) ;
– mesurer la fréquence cardiaque par palpation du pouls (au moins 30 secondes) après la seconde mesure en position assise.
Mesure ambulatoire de la pression artérielle
La mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) est utilisée lorsque de grandes variations de tension artérielle sont enregistrées lors des consultations, lorsque la tension artérielle de consultation est élevée chez un sujet à risque cardiovasculaire faible, lorsque de grandes différences entre la valeur de la tension artérielle de consultation et à domicile sont constatées, lorsque l’hypertension artérielle est résistante et en cas de suspicion d’hypotension. C’est le seul dispositif apte à évaluer la pression artérielle nocturne permettant de rechercher une HTA résistante nocturne dite « profil non deeper « à risque vasculaire supérieur.
La mesure de la tension artérielle se déroule durant une journée normale et donne des valeurs moyennes sur des périodes plus précises (jour-nuit-matin). La mesure est réalisée à l’aide d’un appareil porté à la ceinture + brassard huméral (gonflement automatique toutes les 15 à 20 minutes dans la journée et toutes les 30 minutes la nuit). La moyenne tensionnelle ainsi établie sur le nycthémère correspond à la charge tensionnelle.
Automesure tensionnelle à domicile
La mesure de la pression artérielle est confiée dans ce cas au patient, de manière à mieux évaluer la pression artérielle habituelle, d’améliorer son adhésion au traitement et de mieux prédire la présence ou l’évolution de l’atteinte des organes cibles ainsi que le risque cardiovasculaire. Il est primordial que le patient inscrive les valeurs de ses mesures sur un support dédié, papier ou informatique, qui sera analysé en présence du soignant. L’ANSM recommande l’utilisation de tensiomètres électroniques (liste actualisée sur le site de l’ANSM), et les recommandations nationales et internationales recommandent l’usage d’un appareil positionné sur le bras plutôt que sur le poignet.
Une formation du patient aux conditions optimales de mesure est nécessaire (ESH 2007 et Société Française d’Hypertension Artérielle-SFHTA, novembre 2011).
Selon les types de mesure les seuils de pression artérielle varient pour définir l’hypertension artérielle (tableau 5.2).
Tableau 5.2 Seuils de pression artérielle pour la définition de l’hypertension artérielle selon les différents types de mesure.
PAS | PAD | |
---|---|---|
Consultation | 140 | 90 |
24 h (MAPA : charge tensionnelle) | 125-130 | 80 |
Jour (MAPA) | 130-135 | 85 |
Nuit (MAPA) | 120 | 70 |
Automesure | 130-135 | 85 |
Chez certains patients, les valeurs mesurées en consultation sont ≥ 140/90 mmHg alors qu’à domicile (MAPA moyenne diurne ou automesure) la tension artérielle est < 135/85 mmHg : il s’agit alors de l’hypertension artérielle de consultation ou hypertension « blouse blanche « qui touche 15 % de la population générale. Par ailleurs, certains patients, présentent une hypertension artérielle masquée (absente en consultation mais objectivée en MAPA) ou en automesure (15 % de la population générale).
Étiologies de l’hypertension artérielle
Dans 95 % des cas, l’hypertension est dite essentielle ou primitive, c’est-à-dire qu’aucune étiologie n’est retrouvée. Elle prend alors souvent un caractère familial. Elle est donc secondaire dans 5 % des cas. Les principales causes d’hypertension artérielle secondaire sont les suivantes.
Pathologies rénales ou rénovasculaires
– Néphropathies parenchymateuses avec hypersécrétion de rénine et activation du SRAA (glomérulonéphrites, néphropathies interstitielles chroniques, néphropathies diabétiques, pyélonéphrites chroniques, rein polykystique, vascularites).
– Sténose artérielle rénale (athéroscléreuse ou dysplasique chez la femme jeune).
Pathologies endocriniennes
– Hyperaldostéronisme primaire : adénome de Conn ou hyperplasie bilatérale plus fréquente.
– Hyperminéralocorticismes : maladie de Cushing (adénome hypophysaire corticotrope), syndrome de Cushing (adénome surrénalien, corticothérapie au long cours).
– Phéochromocytome : tumeur de cellules de la médullosurrénale sécrétant les catécholamines.
– Certaines pathologies endocriniennes sont plus rarement associées à une hypertension artérielle : acromégalie, hyperthyroïdie, hyperparathyroïdie, hypercalcémie, tumeurs carcinoïdes.
Iatrogènes
– Les sympathomimétiques directs : agonistes α1-noradré-nergiques (phényléphrine, synéphrine) et indirects : inhibiteurs de la recapture de la noradrénaline (éphédrine et pseudoéphédrine), peuvent aggraver ou induire une hypertension artérielle.
– Dérivés amphétaminiques : bupropion, sibutramine, méthyl-phénidate.
– Alcaloïdes de l’ergot de seigle : contre-indiqués chez les hypertendus.
– Glucocorticoïdes : entraînent une rétention hydrosodée.
– Anti-inflammatoires non stéroïdiens : par inhibition de la synthèse des prostaglandines rénales responsables du maintien du débit de perfusion rénal en cas de pathologie ischémique.
– Divers médicaments : ciclosporine, œstroprogestatifs, érythro-poïétines.
Conséquences de l’hypertension artérielle
L’hypertension artérielle est souvent de découverte fortuite (examen systématique, prescription d’un médicament pouvant provoquer une hypertension, bilan d’athérosclérose). Il est essentiel de détecter et de traiter l’hypertension à ce stade asymptomatique, parce que des complications finiront par se manifester à long terme. Les principales manifestations sont les suivantes.
– Retentissement rénal par sclérose des artérioles rénales (néphroangiosclérose) se manifestant par une diminution de la filtration glomérulaire ainsi qu’une protéinurie. Son évaluation impose le dosage de la créatinine plasmatique, la détermination de la clairance de la créatinine, la recherche d’une protéinurie par bandelette et si négative la recherche d’une microalbuminurie en particulier chez le diabétique.
– Retentissement cardiaque par l’accélération de l’athérosclérose au niveau des artères coronaires due au développement du processus athéromateux facilité par l’augmentation continue de pression sur les parois des artères (angor stable), ou par poussée qui favorise la rupture de plaque et les conséquences thrombotiques (syndrome coronarien aigu). L’hypertension artérielle peut également être à l’origine ou accentuer une insuffisance cardiaque et/ou une hypertrophie ventriculaire gauche décelable par électrocardiogramme ou échocardiographie. L’hypertension artérielle est, avec l’âge, le principal facteur de risque de survenue du trouble du rythme cardiaque le plus fréquent qu’est la fibrillation atriale.
– Retentissement neurologique soit par réduction du flux circulatoire cérébral, soit par embolie athéro-thrombotique secondaire à une sténose des artères carotides visualisée par écho-Doppler, ou risque d’accident vasculaire cérébral par occlusion des artères corticales. L’hypertension artérielle est, par ailleurs, un facteur de risque de rupture de la paroi des artères cérébrales pouvant entrainer un accident vasculaire hémorragique.
– Retentissement vasculaire par troubles de l’irrigation des membres inférieurs induisant une artériopathie chronique des membres inférieurs, se manifestant par une claudication intermittente. Le retentissent vasculaire peut également se manifester au niveau aortique avec risque d’anévrisme aortique abdominal sous-rénal accompagné d’un risque de fissuration voire rupture artérielle, ainsi qu’au niveau thoracique, comme cause fréquente de dissection aortique.
– Retentissement ophtalmologique, par rétrécissement des artérioles se ramifiant à partir de l’artère centrale de la rétine ou par occlusion de l’artère de la rétine par une plaque d’athérome. Le fond d’œil n’est réalisé qu’en cas de symptômes visuels.
Évaluation du patient hypertendu
Le préalable à la mise en place d’une thérapeutique est l’évaluation du patient hypertendu par le praticien. Les recommandations (ESH/ESC 2007, HAS 2005 et note de cadrage HAS 2010) pour la prise en charge du patient hypertendu, ne sont plus focalisées sur les chiffres de la pression artérielle pour traiter ou non mais associent la quantification du risque cardiovasculaire global. Le risque cardiovasculaire global correspond à la probabilité d’avoir un événement cardiovasculaire fatal ou non sur une période de 10 ans. Les patients sont classés selon le grade de l’hypertension, mais également en termes de risque cardiovasculaire global prenant en compte les différents facteurs de risque, atteintes des organes cibles et maladies. Le terme « majoré « indique qu’il s’agit d’un risque supplémentaire par rapport au risque moyen. Les tableaux 5.3 et 5.4 indiquent les variables cliniques les plus communes pour stratifier le risque.
Le syndrome métabolique (tableau 5.5) est mentionné dans le tableau de la stratification du risque cardiovasculaire, parce qu’il représente un groupement de facteurs de risques souvent associés à l’hypertension, et qui en augmente notablement le risque. Il ne s’agit pas d’une entité pathologique autonome.
Tableau 5.5 Notion de syndrome métabolique.
CLASSIFICATION DES MÉDICAMENTS UTILISABLES DANS LE TRAITEMENT DE L’HYPERTENSION ARTÉRIELLE
Les thérapeutiques antihypertensives disponibles en France dans le traitement de l’hypertension artérielle seront présentées selon la classification ATC, les posologies moyennes sont celles utilisées uniquement dans l’indication de l’hypertension artérielle (tableaux 5.6 à 5.17).
Tableau 5.6 C02A, adrénolytiques à action centrale.
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Clonidine | Catapressan 0,15 mg comp. | 1 à 4 cp/j en 2 prises |
Catapressan 0,15 mg/1 mL amp. inj. 1 mL | 3 à 4 amp/j IV ou IM | |
Méthyldopa | Aldomet 250 mg comp. et 500 mg comp. | 750 mg à 1,5 g/j |
Moxonidine | Physiotens 0,2 mg comp et 0,4 mg comp. et génériques | 0,2 mg à 0,4 mg/j en 1 à 2 prises/j |
Réserpine | Tensionorme comp. | 1 à 3 cp/j en 1 à 2 prises/j |
Rilménidine | Hypérium 1 mg comp. et génériques | 1 à 2 cp/j en 2 prises/j |
Tableau 5.7 C02C, adrénolytiques à action périphérique.
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Prazosine | Alpress LP 2,5 mg et 5 mg comp. | 2,5 mg à 5 mg/j en 1 prise/j |
Minipress 1 mg et 5 mg comp. | 3 mg à 7,5 mg en 2 prises/j | |
Urapidil | Eupressyl 30 mg, 60 mg gélule | 60 mg à 120 mg en 2 prises/j |
Tableau 5.9 C02L, antihypertenseurs et diurétiques en association.
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Réserpine | Tensionorme 0,1 mg + bendrofluméthiazide 2,5 mg comp. | 1 à 3 cp/j en 1 à 2 prises/j |
Tableau 5.10 C03A et C03B, diurétiques thiazidiques et apparentés.
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Bendrofluméthiazide | Terisioriorme 2,5 mg + réserpine 0,1 mg comp. | 1 à 3 cp/j en 1 à 2 prises/j |
Hydrochlorothiazide | Esidrex 25 mg comp. | 12,5 mg à 25 mg/j |
Méthyclothiazide | Isobar 5 mg + triamtérène 150 mg comp | ½ cp à 1 cp/j |
Chlortalidone | Logrotori 25 mg + métoprolol 200 mg comp. | 1 à 2 cp/j en 2 prises |
Ténerétic 12,5 mg + 50 mg aténolol comp. | 1 cp/j | |
Ciclétanine | Tenstaten 50 mg gélule et génériques | 1 à 2 gélules/j en 1 prise/j |
Clopamide | Viskaldix 5 mg + pindolol 10 mg comp. | 1 à 2 cp/j en 2 prises |
Indapamide | Fludex 2,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j |
Fludex LP 1,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Prétérax 2 mg + périndopril 0,625 mg comp. + génériques | 1 à 2 cp/prise en 1 prise | |
Prétérax 2,5 mg + périndopril 0,625 mg comp | 1 à 2 cp/prise en 1 prise | |
Biprétérax 4 mg + périndopril 1,25 mg comp + génériques | 1 cp/j | |
Biprétérax 5 mg + périndopril 1,25 mg comp. | 1 cp/j | |
Biprétérax 10 mg + périndopril 2,5 mg comp. | 1 cp/j |
Tableau 5.12 C03D, diurétiques épargneurs potassiques.
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Spironolactone | Aldactone 25 mg, 50 mg, 75 mg comp. + génériques | Enfant : de 1 mg/kg/j à 4 mg/kg/j |
Adulte : 50 mg à 100 mg/j | ||
Flumach 50 mg, 75 mg comp. | Adulte : 50 mg à 100 mg/j | |
Spiroctan 50 mg, 75 mg gélule | Adulte : 50 mg à 100 mg/j | |
Aldadazine 25 mg + altizide 15 mg comp. + génériques | ½ à 1 cp/j | |
Spiroctazine 25 mg + altizide 15 mg comp | ½ à 1 cp/j | |
Spironolactone AP-HP 10 mg gélule | Enfant : de 1 mg/kg/j à 4 mg/kg/j | |
Spironolactone AP-HP 2,5 mg gélule | ||
Amiloride | Modamide 5 mg comp. | 1 à 4 cp/j en 1 à 2 prises/j |
Modurétic 5 mg + 50 mg hydrochlorothiazide comp. + génériques | ½ cp/j | |
Moducren 2,5 mg + timolol maléate 10 mg + hydrochlorothiazide 25 mg | ||
comp. | 1 cp/j | |
Triamtérène | Isobar 150 mg + méthyclothiazide 5 mg comp. | ½ à 1 cp/j |
Prestole 50 mg + hydrochlorothiazide 25 mg gélule | 1 gélule/j |
Tableau 5.13 C07, bêtabloquants.
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Acébutolol | Sectral 200 mg, 400 mg comp. + génériques | 400 mg/j en 1 à 2 prises/j |
Sectral 40 mg/mL sol buv fl 125 mL | 5 mg à 10 mg/kg/j en 2 prises/j | |
Aténolol | Ténormine 50 mg, 100 mg comp. + génériques | 100 mg/j |
Ténordate 50 mg + nifédipine 20 mg gélule + générique | 1 gélule/j | |
Ténorétic 50 mg + chlortalidone 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Bétaxolol | Kerlone 20 mg comp. | 1 cp/j |
Bisoprolol | Détensiel 10 mg comp. + génériques | 1 cp/j |
Lodoz 2,5 mg + hydrochlorothiazide 6,25 mg comp. | 1 cp/j | |
Lodoz 5 mg + hydrochlorothiazide 6,25 mg comp. | 1 cp/j | |
Lodoz 10 mg + hydrochlorothiazide 6,25 mg comp. | 1 cp/j | |
Wytens 2,5 mg + hydrochlorothiazide 6,25 mg comp | 1 cp/j | |
Wytens 5 mg + hydrochlorothiazide 6,25 mg comp. | 1 cp/j | |
Wytens 10 mg + hydrochlorothiazide 6,25 mg comp. | 1 cp/j | |
Cartéolol | Mikélan 20 mg comp. | 1 cp/j |
Céliprolol | Célectol 200 mg comp. + génériques | 1 à 3 cp/j |
Labétalol | Trandate 200 mg comp. | 400 à 800 mg en 2 prises/j |
Métoprolol | Lopressor 100 mg comp. + génériques (50 mg) | 50 à 200 mg/j en 1 à 2 prises/j |
Lopressor LP 200 mg comp. | 1 cp/j | |
Séloken 100 mg comp. + génériques (50 mg) | 50 à 200 mg/j en 1 à 2 prises/j | |
Séloken LP 200 mg comp. | 1 cp/j | |
Logimax LP 47,5 mg + félodipine 5 mg comp. | 1 à 2 cp/j | |
Logroton 200 mg + chlortalidone 25 mg comp. | 1 à 2 cp/j en 2 prises | |
Nadolol | Corgard 80 mg comp. | 1 cp/j |
Nébivolol | Nébilox 5 mg comp. + génériques | 1 cp/j |
Témérit 5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Téméritduo 5 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Téméritduo 5 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Conebilox 5 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Conebilox 5 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Pindolol | Visken 5 mg cpr | 15 à 30 mg en 1 à 2 prises/j |
Visken quinze 15 mg comp. | 15 à 30 mg/j en 1 prise/j | |
Viskaldix 10 mg + clopamine 5 mg comp. | 1 à 2 cp/j en 1 à 2 prises/j | |
Propranolol | Avlocardyl 40 mg comp. + génériques | 1 à 4 cp/j en 2 prises/j |
Aviocardyl LP 160 mg gélule + génériques (+ 80 mg) | 1 à 2 gélules en 1 prise/j | |
Syprol 10 mg/5 mL sol buv (ATU) | Adulte : 80 à 160 mg/j en 2 prises/j | |
Syprol 5 mg/5 mL sol buv (ATU) | ||
Tertatolol | Artex 5 mg comp. | 1 cp/j |
Timolol | Timacor 10 mg comp. | 1 à 6 cp/j en 2 à 3 prises/j |
Moducren 10 mg + amiloride 2,5 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j |
Tableau 5.14 C08, inhibiteurs calciques (seuls et en associations).
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Amlodipine | Amlor 5 mg et 10 mg gélule + génériques | 5 à 10 mg/j en 1 prise |
Axeler 5 mg + olmésartan 20 mg comp. | 1 cp/j | |
Axeler 5 mg + olmésartan 40 mg comp. | 1 cp/j | |
Axeler 10 mg + olmésartan 40 mg comp. | 1 cp/j | |
Caduet 5 mg + atorvastatine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Caduet 10 mg + atorvastatine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Coveram 5 mg + périndopril 5 mg comp | 1 cp/j | |
Coveram 5 mg + périndopril 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Coveram 10 mg + périndopril 5 mg comp | 1 cp/j | |
Coveram 10 mg + périndopril 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Exforge 10 mg + valsartan 160 mg comp. | 1 cp/j | |
Exforge 5 mg + valsartan 160 mg comp | 1 cp/j | |
Exforge 5 mg + valsartan 80 mg comp | 1 cp/j | |
Exforge hctz 5 mg + valsartan 160 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg | 1 cp/j | |
comp. | ||
Exforge hctz 5 mg + valsartan 160 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Exforge hctz 10 mg + valsartan 160 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg | 1 cp/j | |
comp. | ||
Exforge hctz 10 mg + valsartan 160 mg + hydrochlorothiazide 25 mg | 1 cp/j | |
comp. | ||
Sevikar 5 mg + olmésartan 20 mg comp | 1 cp/j | |
Sevikar 5 mg + olmésartan 40 mg comp. | 1 cp/j | |
Sevikar 10 mg + olmésartan 40 mg comp. | 1 cp/j | |
Twynsta 5 mg + 40 mg telmisartan comp. | 1 cp/j | |
Twynsta 10 mg + 40 mg telmisartan comp. | 1 cp/j | |
Twynsta 5 mg + 80 mg telmisartan comp. | 1 cp/j | |
Twynsta 10 mg + 80 mg telmisartan comp. | 1 cp/j | |
Diltiazem | Mono Tildiem LP 200 mg, LP 300 mg gélule + génériques | 200 à 300 mg/j |
Félodipine | Flodil LP 5 mg comp. | 5 à 10 mg/j en 1 prise |
Logimax LP 5 mg + métoprolol 47,5 mg comp. | 1 à 2 cp/j en 1 prise | |
Isradipine | Icaz LP 2,5 mg, LP 5 mg gélule | 2,5 à 5 mg/j en 1 prise |
Lacidipine | Caldine 2 mg, 4 mg comp. | 2 à 4 mg/j en 1 prise |
Lercanidipine | Lercan 10 mg, 20 mg comp. + génériques | 5 à 20 mg/j en 1 prise |
Zanidip 10 mg, 20 mg comp. | 5 à 20 mg/j en 1 prise | |
Lercapress 10 mg + énalapril 20 mg comp. | 1 cp/j | |
Zanextra 10 mg + énalapril 20 mg comp. | 1 cp/j | |
Manidipine | Iperten 10 mg, 20 mg comp. + génériques | 10 à 20 mg/j en 1 prise |
Nicardipine | Loxen 20 mg comp. | 60 mg/j en 3 prises |
Loxen LP 50 mg gélule | 2 gélules/j en 2 prises | |
Nifédipine | Adalate LP 20 mg comp. + génériques | 2 cp/j en 2 prises |
Chronadalate LP 30 mg comp. + génériques | 1 à 2 cp/j en 1 prise | |
Ténordate 20 mg + aténolol 50 mg gélule + générique | 1 à 2 gélules en 1 à 2 prises/j | |
Nitrendipine | Baypress 10 mg, 20 mg comp. + génériques | 20 mg/j en 1 à 2 prises/j |
Nidrel 10 mg, 20 mg comp. + génériques | 20 mg/j en 1 à 2 prises/j | |
Vérapamil | Isoptine 120 mg gélule + génériques | 2 à 3 gélules/j en 2 prises |
Isoptine LP 240 mg comp. + génériques | 1 à 1,5 cp/j en 1 à 2 prises | |
Tarka LP 180 mg + 2 mg trandolopril comp. | 1 cp/j |
Tableau 5.15 C09, médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine; C09A et C09B, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (seuls ou en associations).
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Bénazepril | Briem 5 mg, 10 mg comp. + génériques | 2,5 à 10 mg/j en 1 prise |
Cibacene 5 mg, 10 mg comp. + génériques | ||
Briazide 10 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | ½ cp à 1 cp/j | |
Cibadrex 10 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | ½ cp à 1 cp/j | |
Captopril | Lopril 25 mg, 50 mg comp. + génériques (+ 12,5 mg) | 50 à 100 mg/j en 2 prises |
Captéa 50 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Ecazide 50 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Cilazapril | Justor 1 mg comp. | 2,5 mg en 1 prise/j |
Justor 2,5 mg comp. + génériques | ||
Énalapril | Rénitec 5 mg, 20 mg comp. + génériques | 5 à 20 mg en 1 prise/j |
Co Rénitec 20 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Lercapress 20 mg + lécarnidipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Zanextra 20 mg + lécarnidipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Fosinopril | Fozitec 10 mg, 20 mg comp. + génériques | 10 à 20 mg en 1 prise/j |
Fozirétic 20 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Imidapril | Tanatril 5 mg, 10 mg comp. | 5 à 20 mg en 1 prise/j |
Lisinopril | Prinivil 5 mg, 20 mg comp. + génériques | 10 à 20 mg en 1 prise/j |
Zestril 5 mg, 20 mg comp. + génériques | ||
Prinzide 20 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Zestoretic 20 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Moexipril | Moex 7,5 mg, 15 mg comp. | 7,5 à 15 mg en 1 prise/j |
Périndopril | Coversyl 2,5 mg, 5 mg, 10 mg comp. + génériques | 2,5 à 10 mg en 1 prise/j |
arginine | Biprétérax 5 mg + indapamide 1,25 mg comp. | 1 cp/j |
Biprétérax 10 mg + indapamide 2,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Prétérax 2,5 mg + indapamide 0,625 mg comp. | 1 cp/j | |
Préterval 2,5 mg + indapamide 0,625 mg comp. | 1 cp/j | |
Coveram 5 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Coveram 5 mg + amlodipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Coveram 10 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Coveram 10 mg + amlodipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Périndopril | Périndopril 2 mg, 4 mg, 8 mg comp. (génériques) | 2 à 8 mg en 1 prise/j |
erbumine | Prétérax 2 mg + indapamide 0,625 mg comp. | 1 cp/j |
Biprétérax 4 mg + indapamide 1,25 mg comp. | 1 cp/j | |
Quinapril | Acuitel 5 mg, 20 mg comp. + génériques | 20 à 40 mg en 1 à 2 prises/j |
Korec 5 mg, 20 mg comp. + génériques | ||
Acuilix 20 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Korétic 20 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Ramipril | Triatec 1,25 mg, 2,5 mg, 5 mg, 10 mg comp. + génériques | 1,25 à 10 mg en 1 prise/j |
Cotriatec 5 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Trandolapril | Odrik 0,5 mg, 2 mg, 4 mg gélule + génériques | 2 à 4 mg en 1 prise/j |
Tarka LP 2 mg + vérapamil 180 mg comp. | 1 cp/j | |
Zofénopril | Zofénil 15 mg, 30 mg, 60 mg comp. | 15 à 30 mg en 1 prise/j |
Zofénilduo 30 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j |
Tableau 5.16 C09, médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine; C09C et C09D, antagonistes de l’angiotensine II (seuls ou en associations).
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Candésartan | Atacand 4 mg, 8 mg, 16 mg, comp. | 4 à 8 mg en 1prise/j |
Kenzen 4 mg, 8 mg, 16 mg, 32 mg comp. | 4 à 8 mg en 1prise/j | |
Hytacand 8 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Hytacand 16 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Cokenzen 8 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Cokenzen 16 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Eprosartan | Tévéten 300 mg comp. | 1 à 2 cp/j en 1 à 2 prises |
Irbésartan | Aprovel 75 mg, 150 mg, 300 mg comp. | 150 à 300 mg en 1 prise/j |
Coaprovel 150 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Coaprovel 300 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Coaprovel 300 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Losartan | Cozaar 50 mg, 100 mg comp. + génériques | 50 mg en 1 prise/j |
Cozaar 2,5 mg/mL sol buv 200 ml | Enfant : 0,7 mg/Kg/prise | |
Fortzaar 100 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Fortzaar 100 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Hyzaar 50 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Olmésartan | Alteis 10 mg, 20 mg, 40 mg comp. | 10 à 40 mg en 1 prise/j |
Olmetec 10 mg, 20 mg, 40 mg comp. | 10 à 40 mg en 1 prise/j | |
Alteisduo 20 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp | 1 cp/j | |
Alteisduo 20 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Alteisduo 40 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Alteisduo 40 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Coolmetec 20 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Coolmetec 20 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Coolmetec 40 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Coolmetec 40 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Axeler 20 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Axeler 40 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Axeler 40 mg + amlodipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Sevikar 20 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Sevikar 40 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Sevikar 40 mg + amlodipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Telmisartan | Micardis 20 mg, 40 mg, 80 mg comp. | 20 à 40 mg en 1 prise/j |
Pritor 20 mg, 40 mg, 80 mg comp. | 20 à 40 mg en 1 prise/j | |
Micardisplus 40 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Micardisplus 80 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Micardisplus 80 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp | 1 cp/j | |
Pritorplus 40 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Pritorplus 80 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Pritorplus 80 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j | |
Twynsta 40 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Twynsta 40 mg + amlodipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Twynsta 80 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Twynsta 80 mg + amlodipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Valsartan | Tareg 40 mg, 80 mg, 160 mg comp. + génériques | 40 à 80 mg en 1 prise/j |
Tareg 3 mg/mL sol buv 160 mL | 20 à 80 mg en 1 prise/j | |
Nisis 40 mg, 80 mg, 160 mg comp. + génériques | 40 à 80 mg en 1 prise/j | |
Cotareg 80 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Cotareg 160 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Cotareg 160 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Nisisco 80 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Nisisco 160 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Nisisco 160 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp. + génériques | 1 cp/j | |
Exforge 80 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Exforge 160 mg + amlodipine 5 mg comp. | 1 cp/j | |
Exforge 160 mg + amlodipine 10 mg comp. | 1 cp/j | |
Exforge hctz 160 mg + amlodipine 5 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg | 1 cp/j | |
comp. | ||
Exforge hctz 160 mg + amlodipine 5 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp | 1 cp/j | |
Exforge hctz 160 mg + amlodipine 10 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg | 1 cp/j | |
comp. | ||
Exforge hctz 160 mg + amlodipine 10 mg + hydrochlorothiazide 25 mg comp | 1 cp/j |
Tableau 5.17 C09, médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine; C09X, autres médicaments agissant sur le système rénine-angiotensine.
DCI | Nom commercial | Posologie moyenne |
---|---|---|
Aliskiren | Rasilez 150 mg, 300 mg comp. | 150 à 300 mg en 1 prise/j |
Rasilez hctz 150 mg + hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Rasilez hctz 300 mg/hydrochlorothiazide 12,5 mg comp. | 1 cp/j | |
Rasilez hctz 300 mg/hydrochlorothiazide 25 mg comp. | 1 cp/j |

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