Dysfonction érectileLa dysfonction érectile touche à des degrés divers 40 % des hommes dès 40 ans. Il ne s’agit pas d’un symptôme anecdotique puisqu’il a des conséquences psychologiques et relationnelles importantes. La nouveauté vient aussi du fait que la dysfonction érectile commence à être considérée comme un symptôme sentinelle constituant un des marqueurs du risque cardiovasculaire. L’approche alimentaire se situe donc à deux niveaux :

Soulignons que les données disponibles indiquent un faible taux de pris en charge de ce trouble en médecine générale alors que les recommandations de l’association inter-hospitalo-universitaire de sexologie sur la dysfonction érectile ont été mises à jour en 2010 (http://www.aihus.fr). «Une majorité d’hommes (66 à 82 %) attend du médecin qu’il prenne l’initiative de discuter avec eux de leur fonction sexuelle» selon le Pr Costa (CHRU Nîmes) [4]. Le biais de l’alimentation peut être un prétexte pour aborder cette question.