Chapitre 16
Images avant et après traitement
Figure 16.1 Pyodermite. A. Dermatite alopécique, papuleuse et croûteuse sur le nez avant mise en place du traitement. B. Après 3 semaines d’une antibiothérapie agressive (dose élevée, longue durée et fréquence optimale), la folliculite et la furonculose bactérienne sont en voie de rémission.
Figure 16.2 Pyodermite. A. Berger allemand adulte atteint d’une folliculite et d’une furonculose bactériennes généralisées. La tonte de l’animal révèle la présence de nombreuses lésions papulocroûteuses suintantes. B. Après une antibiothérapie agressive (dose élevée, longue durée et fréquence optimale), la folliculite et la furonculose bactériennes ont guéri.
Figure 16.3 Pyodermite. A. Dermatite érythémateuse sévère avec de nombreuses collerettes épidermiques B. Après une antibiothérapie agressive, la pyodermite s’est améliorée, mais de nombreuses collerettes épidermiques sont encore visibles. Ce chien souffrait d’une infection à Staphylococcus schleiferi multirésistante.
Figure 16.4 Pyodermite. A. Alopécie et lichénification en face ventrale du cou dues à une pyodermite bactérienne. Noter la ressemblance avec une dermatite à Malassezia (levures). B. Après une antibiothérapie agressive (dose élevée, longue durée et fréquence optimale), la folliculite et la furonculose bactériennes ont guéri.
Figure 16.5 Pyodermite. A. Une éruption papuleuse et érythémateuse sur l’abdomen d’un chien atteint d’une folliculite bactérienne est caractéristique d’une pyodermite chez le chien. B. Après une antibiothérapie agressive (dose élevée, longue durée et fréquence optimale), la folliculite et la furonculose bactériennes ont guéri.
Figure 16.6 Pyodermite. A. Cette dermatite érosive chez un Berger allemand adulte est due à une infection agressive à Staphylococcus. Les lésions érosives sont probablement dues aux exotoxines de Staphylococcus (lésions semblables à celles observées lors d’un syndrome staphylococcique des enfants ébouillantés). B. Après une antibiothérapie agressive (dose élevée, longue durée et fréquence optimale), la folliculite et la furonculose bactériennes ont guéri.
Figure 16.7 Pyodermite. Même chien que sur la figure 16.6. A. Des lésions érosives dues à l’infection agressive à Staphylococcus se sont développées sur l’abdomen. B. Après une antibiothérapie agressive (dose élevée, longue durée et fréquence optimale), la folliculite et la furonculose bactériennes ont guéri.
Figure 16.8 Nocardiose. A. Plaque érythémateuse en face interne des cuisses accompagnée d’un exsudat. Cette lésion en plaque est inhabituelle pour Nocardia, qui est plus typiquement à l’origine d’une cellulite profonde. B. Après un traitement agressif à base de triméthoprime–sulfadizine, les lésions sont en voie de rémission.
Figure 16.9 Nocardiose. Même chien que sur la figure 16.8. A. Cette plaque inhabituelle n’est pas typique des lésions de cellulite associées à une nocardiose. B. Après un traitement agressif à base de triméthoprime–sulfadizine, les lésions sont en voie de rémission.
Figure 16.10 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie généralisée avec hyperpigmentation et lichénification au sein du pattern caractéristique dit en « peau d’éléphant », associé à une dermatite à Malassezia. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de thérapie antifongique topique, la dermatite à Malassezia est guérie. La cause sous-jacente/primaire (allergies ou maladie endocrinienne) doit être contrôlée afin de prévenir une récidive de l’infection.
Figure 16.11 Dermatite à Malassezia. A. Dermatite érythémateuse, alopécique et lichénifiée sévère de la face chez un chien due à une dermatite secondaire à Malassezia associée à une dermatite allergique primaire. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.12 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie, hyperpigmention et lichénification sévères de la face et des régions axillaires au sein du pattern caractéristique dit en « peau d’éléphant » typique d’une dermatite à Malassezia. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques et antibactériens, la dermatite à Malassezia est en voie de guérison.
Figure 16.13 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie et lichénification intéressant la face et le cou d’un jeune Pinscher nain, dues à une infection secondaire à Malassezia associée à une allergie alimentaire. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie. L’allergie alimentaire fut traitée par un régime d’éviction.
Figure 16.14 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie, hyperpigmention et lichénification de la face et de la peau périoculaire chez un Cocker Spaniel adulte souffrant d’une dermatite allergique. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.15 Dermatite à Malassezia. Même chien que sur la figure 16.14. A. L’alopécie et la lichénification de la base de la queue sont dues à une dermatite à Malassezia secondaire. Noter la ressemblance avec une dermatite par allergique aux piqûres de puces. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.16 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie, hyperpigmentation et lichénification sévères en face ventrale de la queue et en région périanale chez un chien atteint de dermatite à Malassezia secondaire sévère. En raison de la distribution périanale, il convient de considérer une allergie alimentaire comme une cause primaire possible. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.17 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie, hyperpigmention et lichénification au sein du pattern caractéristique dit en « peau d’éléphant », associé à une dermatite à Malassezia secondaire. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.18 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie et lichénification de la région axillaire sont caractéristiques d’une dermatite à Malassezia. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.19 Otite à Malassezia. A. Érythème, lichénification et sténose du conduit auditif externe accompagnés d’un exsudat suintant. L’évaluation cytologique met en évidence la prédominance d’une infection à Malassezia secondaire. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de traitement topique auriculaire, l’otite à levure est guérie. Le matériau humide est le topique auriculaire. Noter qu’avec la guérison de l’infection et l’application de corticoïdes topiques, la tuméfaction du conduit auditif s’est considérablement réduite.
Figure 16.20 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie et lichénification sur le pied d’un chien allergique affecté d’une pododermite à Malassezia secondaire. L’espace interdigité est généralement le site principal des infections secondaires à bactéries et à levures ; cependant, la dermatite s’est étendue sur la face dorsale du pied chez ce patient. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.21 Dermatite à Malassezia. A. Un exsudat sombre est responsable d’une agrégation des poils et de la formation de croûtes au niveau de la peau périoculaire et du museau chez ce chat atteint d’une dermatite à Malassezia secondaire. Noter la ressemblance avec un pemphigus félin et avec une dermatite faciale idiopathique du chat persan B. Après plusieurs semaines d’administration d’itraconazole (le kétoconazole est responsable de nombreux effets indésirables chez le chat) et de traitement antifongique topique, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.22 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie, érythème et lichénification généralisés chez un chien adulte atteint de dermatite à Malassezia secondaire associée à une allergie sous-jacente. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie. Noter que le chien souffre encore d’un prurit en l’absence de contrôle de la maladie allergique sous-jacente.
Figure 16.23 Dermatite à Malassezia. A. Alopécie, hyperpigmentation et lichénification au sein du pattern caractéristique dit en « peau d’éléphant », associé à une dermatite à Malassezia secondaire. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatite à Malassezia est guérie.
Figure 16.24 Dermatophytose. A. Foyer alopécique et érythémateux sur le museau d’un Teckel adulte. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatophytose est guérie.
Figure 16.25 Dermatophytose. Même chien que sur la figure 16.24. A. L’alopécie et l’érythème dus à la folliculite n’affectent que la partie velue du nez, contrairement à une dermatose auto-immune, qui aurait intéressé la partie glabre du planum nasal. B. Après plusieurs semaines d’administration de kétoconazole et de topiques antifongiques, la dermatophytose est guérie.
Figure 16.26 Démodécie. A. Alopécie généralisée et éruption papulocroûteuse sur la face dues à une démodécie. B. Après plusieurs mois de traitement acaricide systémique, la démodécie est guérie (statut fondé sur deux raclages cutanés négatifs réalisés à 3 semaines d’intervalle).
Figure 16.27 Démodécie. A. Alopécie généralisée, croûtes et dermatite papuleuse chez un chien adulte. B. Après plusieurs mois de traitement acaricide systémique, la démodécie est guérie (statut fondé sur deux raclages cutanés négatifs réalisés à 3 semaines d’intervalle).
Figure 16.28 Démodécie. A. Alopécie généralisée, croûtes et dermatite papuleuse sur la tête d’un chiot Bouledogue anglais. B. Après plusieurs mois à l’aide d’un traitement acaricide systémique (ivermectine), la démodécie est guérie (statut fondé sur deux raclages cutanés négatifs réalisés à 3 semaines d’intervalle).
Figure 16.29 Démodécie. A. Alopécie généralisée et dermatite papuleuse intéressant l’ensemble du corps. B. Après plusieurs mois d’un traitement acaricide systémique (ivermectine), la démodécie est guérie (statut fondé sur deux raclages cutanés négatifs réalisés à 3 semaines d’intervalle).
Figure 16.30 Démodécie. A. Alopécie périoculaire chez un jeune chien de race croisée. B. Après plusieurs mois d’un traitement acaricide systémique (ivermectine), la démodécie est guérie (statut fondé sur deux raclages cutanés négatifs réalisés à 3 semaines d’intervalle).
Figure 16.31 Démodécie. A. Alopécie généralisée et éruption papuleuse chez un chiot Boxer. B. Après plusieurs mois de traitement acaricide systémique (ivermectine), la démodécie est guérie (statut fondé sur deux raclages cutanés négatifs réalisés à 3 semaines d’intervalle).
Figure 16.32 Démodécie. A. Alopécie généralisée, hyperpigmentation et dermatite papulocroûteuse chez un chien souffrant d’une maladie de Cushing iatrogène (dû à de nombreuses injections de corticoïdes retard). B. Après plusieurs mois de traitement acaricide systémique (ivermectine), la démodécie s’améliore. L’alopécie et l’hyperpigmentation mettront plus longtemps à guérir en raison de la maladie de Cushing iatrogène sous-jacente.
Figure 16.33 Démodécie. A. Dermatite papulocroûteuse généralisée avec présence de trajets fistuleux due à une folliculite et une furonculose sévères. B. Après plusieurs mois de traitement acaricide systémique, la démodécie est guérie (statut fondé sur deux raclages cutanés négatifs réalisés à 3 semaines d’intervalle).
Figure 16.34 Démodécie. A. Alopécie généralisée accompagnée d’une éruption papulocroûteuse. B. Après plusieurs mois de traitement acaricide systémique, la démodécie est guérie (statut fondé sur deux raclages cutanés négatifs réalisés à 3 semaines d’intervalle).