Exemples de diagnostics infirmiers prévalents en rhumatologie : • déficit de soins personnels : • image corporelle perturbée ; • connaissances insuffisantes ; • perturbation des relations sociales ; • stratégies d’adaptation inefficaces ; • stratégies d’adaptation inefficaces d’une collectivité ; • Maladies entraînant un handicap prolongé, chronique : • Maladies entraînant un handicap temporaire : – crises d’arthrite aiguë, isolées ou au cours d’un rhumatisme inflammatoire ; – poussées douloureuses d’arthrose ; – crises de névralgie sciatique, crurale ou cervicobrachiale ; – tendinites et pathologies périarticulaires ; – infections ostéoarticulaires ; • Cancers métastasés à l’os : cancers du sein, de la prostate, du poumon, etc. Elle comporte plusieurs étapes : • l’application de la prescription médicale (ex. : prise de médicaments par la personne ou administration en IV ou IM par l’IDE) ; • la surveillance de l’efficacité du traitement, selon la pathologie et son évolution ; • la surveillance des effets indésirables des thérapeutiques ou des soins prescrits (également nommés, sur les notices pharmaceutiques « effets non souhaités ou gênants »). • le diagnostic infirmier : titre, étiologie, signes (ou facteurs de risque, s’il s’agit d’un diagnostic infirmier de « risque de ») ; • les objectifs de soins : formulés en termes positifs de capacités pour le patient, ils suggèrent les critères permettant l’évaluation des soins dispensés ; • les interventions infirmières (ou actions infirmières) ; • le dispositif d’évaluation des soins prévus et/ou dispensés. • les soins sur prescription médicale ; • les soins relevant du rôle propre de l’infirmière ; • les soins relevant des autres intervenants de soins (aide-soignante, soins confiés en kinésithérapie, diététique, bloc opératoire, etc.). Cette compétence concernera les points suivants : • assurer les besoins quotidiens du malade, en particulier du fait du handicap lié : – aux circonstances de l’hospitalisation, – à la pathologie elle-même (aiguë, comme dans une sciatique, une névralgie crurale, ou chronique, comme devant une polyarthrite), – aux nécessités d’un geste thérapeutique (repos strict après une infiltration épidurale) ; • prévoir ce qui, au cours du séjour, sera utile au malade pour restaurer et améliorer son état : – accompagnement et conseils pour une éventuelle rééducation, y compris l’auto-rééducation, – conseils pour limiter le risque de récidive (sciatique, par exemple) ; • promouvoir la santé, comme par exemple : La pratique de la rhumatologie conduit l’infirmière à mettre en œuvre des soins : • à visée diagnostique (rôle d’assistante du médecin) : – préparer le matériel pour une ponction articulaire évacuatrice, – rassurer le patient sur l’innocuité du geste, – organiser la réalisation d’examens complémentaires (radiographies, échographies, prélèvements sanguins) ;
Les 10 compétences infirmières en rhumatologie dans l’UE 2.7
Évaluer une situation clinique et établir un diagnostic dans le domaine infirmier
Évaluation de l’état clinique et psychosocial du malade
Définition du diagnostic infirmier
Diagnostics prévalents en rhumatologie
Concevoir et conduire un projet de soins infirmiers
Méthodologie de la démarche de soins
Définition
Projet de soins
Soins relatifs à l’application des prescriptions médicales
Plan de soins infirmiers
Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens
Mettre en œuvre des actions à visée diagnostique et thérapeutique
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