Furet

Furet

Furet Index Alphabétique des Maladies et Signes Cliniques Groupés par Spécialités

Normes biologiques

Posologie des principaux médicaments

Contention, prélèvements et modalités d’administration

PARTICULARITÉS À CONNAÎTRE

image Dermatologie

La peau du furet est relativement épaisse et résistante, notamment dans la région de la nuque et des épaules.

AFFECTIONS HÉPATIQUES

AFFECTIONS NÉONATALES

image Rappels physiologiques

• CROISSANCE ET DÉVELOPPEMENT DES JEUNES

image Les affections néonatales

AFFECTIONS NUTRITIONNELLES

Elles sont devenues rares en raison de la généralisation des aliments secs spécifiques.

AGRESSIVITÉ*

image Comportement agonistique ou agressivité

• LE FURET EXPRIME SON AGRESSIVITÉ PAR LA MORSURE.

Cette morsure est généralement directe et sans phase de menace. Elle peut se dérouler selon 3 séquences :

image Les manipulations

ALIMENTATION

image Besoins nutritionnels

• BESOINS EN EAU

Le furet boit en moyenne 75 à 100 mL d’eau par jour.

Les besoins en eau dépendent de plusieurs facteurs, notamment la teneur en matière sèche de l’aliment ainsi que sa valeur énergétique et sa teneur en protéines. Des expériences américaines ont montré que le furet doit boire 2,8 g d’eau/g d’aliment sec consommé, que l’eau soit indifféremment mélangée à l’aliment ou distribuée séparément. La saison a aussi beaucoup d’importance : le furet boit en moyenne 14 à 27 fois par jour en été, et 7 à 12 fois par jour en hiver. Il ne boit volontiers que de l’eau propre et fraîche, sinon il limite sa consommation. Un manque d’abreuvement est dangereux, il peut être à l’origine de problèmes rénaux (défaut de filtration rénale, élévation du taux d’urée) et d’urolithiase (calculs urinaires).

image Adaptation de l’alimentation selon l’état physiologique

ALOPÉCIE PAR TUMEUR SURRÉNALIENNE

image Traitement

• MÉDICAL

Analogues de synthèse de la GnRH : acétate de leuprolide (Lupron* 100 μg/kg/mois), décapeptyl (Enantone*, même posologie). Les implants d’acétate de desloréline (Suprelorin 4,7 mg) ont montré leur efficacité dans le traitement palliatif de la maladie surrénalienne. Les signes cliniques diminuent de façon significative en deux semaines et la repousse du poil est effective en 4 à 6 semaines. Il convient de préciser que l’implant apporte une diminution voire une disparition des signes cliniques (alopécie, hypertrophie vulvaire, hypertrophie prostatique…) mais qu’il ne modifie pas la taille des tumeurs et n’inhibe pas leur croissance.

ALOPÉCIES SAISONNIÉRES

CARDIOMYOPATHIES

Elles s’observent surtout après l’âge de 3 ans. Elles sont de type hypertrophique ou dilaté, avec des formes intermédiaires de type restrictif. Elles se traduisent cliniquement par de la dyspnée, de l’asthénie, parfois des épanchements pleuraux et abdominaux. Leur étiologie précise n’est pas connue, mais une déficience en taurine est fortement suspectée. Leur aspect clinique et leur évolution étiopathogénique sont comparables à ceux du chat.

COLITE PROLIFÉRATIVE

Voir également Entérites bactériennes Cette maladie, appelée aussi entérocolite proliférative ou Proliferative Bowel Disease (PBD) par les Anglo-Saxons, atteint principalement les jeunes furets de moins de 18 mois.

Jun 18, 2017 | Posted by in GÉNÉRAL | Comments Off on Furet

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