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FAUX KYSTE DU PANCRÉAS

Voir Pseudo-kyste du pancréas.

FAVISME

Voir Déficit en G6PD.

FAVUS

Voir Dermatophyties.

FÉCALOME

Définition

C’est un bouchon dur et volumineux de matières fécales, siégeant en règle générale dans l’ampoule rectale qu’il obstrue. On peut en rapprocher les barytomes que l’on peut observer chez des personnes âgées ou des colopathes, après une radiographie digestive avec ingestion de baryte (cf. illustration).

Image lacunaire, arrondie, régulière, d’un fécalome siégeant à la partie basse du sigmoïde. 1. Sigmoïde; 2. Fécalome; 3. Rectum.

Causes et mécanismes

Il complique certaines constipations atoniques (sujets âgés, paralysés, grabataires, etc.) ou certaines dyschésies (→ Constipation), voire certaines thérapeutiques médicamenteuses.

Signes essentials

C’est un tableau de constipation opiniâtre avec gêne rectale, ou au contraire un tableau de fausse diarrhée avec écoulement de matières liquides (le toucher rectal fait le diagnostic et permet d’éviter deux erreurs : parler d’incontinence ou donner des antidiarrhéiques). Le fécalome peut se compliquer d’une véritable occlusion.

Traitement

C’est l’évacuation au doigt en s’aidant de petits lavements huileux ou de Microlax. Le véritable traitement doit être préventif (→ Constipation).

FÉCONDATION IN VITRO

Voir Procréation médicalement assistée.

FENTE PALATINE OU BEC-DE-LIÈVRE

Définition

Malformation de la face qui atteint de façon variable la lèvre supérieure, l’arcade dentaire, le palais et le voile du palais : fente vélo-palatine (médiane sans anomalie des lèvres); fente labiale isolée (siégeant à gauche ou à droite de la ligne médiane); fente labio-palatine, uni- ou bilatérale (fente labiale se prolongeant au-delà de l’arcade dentaire vers le palais).

Causes et mécanismes

Embryopathie soit isolée, soit syndrome polymalformatif d’origine génétique.

Traitement et prognostic

La possibilité d’un diagnostic anténatal a transformé les conditions de l’annonce aux parents de l’anomalie. Information par le chirurgien et l’équipe qui prendront l’enfant en charge; accompagnement et soutien psychologique au moment de la naissance.

Après la naissance, éviter les séparations de la mère et de l’enfant; alimentation avec une tétine normale; mise en place rapide d’une prothèse palatine; réparation de la division palatine à 3 mois; de la fente labiale le plus tôt possible (avant 3 mois si elle est isolée; sinon à 6 mois).

Ultérieurement prise en charge orthodontique et orthophonique si nécessaire. Excellent pronostic esthétique et fonctionnel.

En cas de malformations associées, ce sont elles qui conditionnent le pronostic, pouvant faire envisager une interruption médicale de grossesse.

FIBRILLATION AURICULAIRE

Voir Arythmie complète par fibrillation auriculaire.

FIBRILLATION VENTRICULAIRE

Définition

La fibrillation ventriculaire est définie par l’existence de contractions ventriculaires anarchiques, désynchronisées et très rapides.

Fibrillation ventriculaire (FV).

Signes essentiels

Cliniques : le patient est en arrêt cardio-circulatoire.

Électriques : la fibrillation ventriculaire se caractérise par une disparition de l’activité électrique normale (ondes P et complexes QRS) qui est remplacée par des activités désordonnées, anarchiques, d’abord à grandes ondes rapides et amples, puis à petites ondes (cf. illustration).

Traitement

La fibrillation ventriculaire est une urgence extreme dont le traitement repose sur la cardioversion par choc électrique externe qui réalise une défibrillation. L’intensité électrique délivrée sera de l’ordre de 200 à 300 joules. En cas d’échec, il faut mettre en route un massage cardiaque externe, une respiration artificielle et une correction intraveineuse de l’acidose par bicarbonate et ceci entre les nouvelles tentatives de choc.

En cas de succès du choc, un traitement de consolidation sera entrepris, en fonction du mécanisme de production du trouble du rythme.

FIBRINOLYSE

Définition

C’est une activation brutale ou subaiguë du système fibrinolytique par libération dans la circulation d’activateurs de la fibrinolyse.

Causes

• Intervention chirurgicale sur la prostate, le cœur, les poumons, le foie.

• Complications obstétricales.

• Cirrhose avec hypertension portale.

Signes cliniques et paracliniques

Il s’agit d’un saignement en nappe, incoercible, du champ opératoire, du point de ponction, de l’utérus. Dans les formes aiguës, le sang est incoagulable même en présence d’un excès de thrombine. Il peut rendre un sang témoin incoagulable ou dissoudre le caillot témoin. Le fibrinogène plasmatique est effondré, le nombre de plaquettes et le taux de facteur V sont classiquement normaux. Le diagnostic repose sur le temps de lyse du caillot ou des euglobulines (→) raccourci, la mise en évidence de produits de dégradation du fibrinogène (PDF); la présence de complexes solubles (→) signe une coagulation intravasculaire disséminée associée.

Pronostic

Le pronostic dépend du siège et de l’importance du syndrome hémorragique et de la rapidité de la mise en route du traitement.

Traitement

Administration d’Iniprol inhibant la plasmine circulante, transfusion de fibrinogène, de culots érythrocytaires en cas d’hémorragie importante, de plaquettes et de plasma frais en cas de CIVD associée.

FIBROMES UTÉRINS

Définition

Les fibromes, myomes ou léiomyomes sont des tumeurs bénignes développées aux dépens du muscle utérin, le myomètre.

Ces tumeurs sont très fréquentes et entraînent chez 25 % des femmes des troubles fonctionnels liés soit aux saignements, soit à la compression, soit à des difficultés de reproduction.

Causes et mécanismes

La cause exacte des fibromes demeure inconnue, mais leur développement est influencé par les œstrogènes, ce qui explique :

• leur accroissement en cours de grossesse ou lors de la prise d’œstroprogestatifs, et leur involution lors de la ménopause;

• les hémorragies, leur principal symptôme, sont liées, la plupart du temps, à l’hyperplasie de l’endomètre, conséquence du climat d’hyperœstrogénie relative.

Le siège du fibrome est variable sur le corps utérin : interstitiel, sous-muqueux (cf. illustration), sousséreux, simulant, lorsqu’il est pédiculisé, une tumeur annexielle.

Signes essentiels

Cliniques

Les fibromes sont découverts lors d’hémorragies génitales : ménorragies, et hyperménorrhées; ou lors de signes de compression : douleurs pelviennes, troubles urinaires, augmentation de volume de l’abdomen, stérilité; ou lors d’une complication : compression mécanique, nécrobiose aseptique, écoulement leucorrhéique, ou lors d’un examen gynécologique systématique.

Fibrome intra-utérin en hystéroscopie.

Paracliniques

L’échographie : mesure et localise les fibromes.

L’hystérographie : elle donne :

• une image directe du fibrome lui-même, lacune régulière, à bords nets, marginale ou centrale, d’un myome sous-muqueux; le cliché sans preparation pouvant montrer des calcifications;

• des images indirectes de la cavité utérine et des trompes :

– cavité agrandie et déformée; myome interstitiel,

– trompes refoulées et moulées par un myome sous-séreux.

Hystéroscopie : dans les myomes sous-muqueux et pour rechercher une hyperplasie de l’endomètre.

NFS : à la recherche d’une anémie.

Échographie rénale et urographie intraveineuse en cas de retentissement urinaire ou de volumineux fibromes.

Caractères topographiques des fibromes : A – Par rapport au muscle utérin : en 1 : fibrome sousséreux pédiculé; en 2 : fibrome sous-séreux sessile; en 3 : fibrome intramural; en 2, 5 et 7 : fibrome sousmuqueux. B – Par rapport aux différentes parties de l’utérus : en 1, 2 et 3 : fibromes du fond de l’utérus; en 4 et 5 : fibromes du corps; en 6 : fibromes de l’isthme et du col. De ces différentes localisations découlent les signes par lesquels se manifestent les fibromes.

Éléments de surveillance

– Cliniques : par le TV combiné au palper abdominal et au TR : appréciation de la taille et de la consistance du fibrome, recherche des signes de compression : urinaire, vasculaire (état veineux), rectale, des signes de torsion, d’infection, de nécrobiose : le fibrome devient sensible, ramolli, avec fébricule.

– Paracliniques : échographie, NFS.

Traitement et prognostic

Le fibrome est une tumeur bénigne, l’attitude thérapeutique devra être la plus conservatrice possible :

Abstention thérapeutique si absence de signes fonctionnels.

Traitement des fibromes utérins :

• Traitements médicaux :

– progestatifs classiques mais inefficaces,

– analogues de la LHRH,

– antiprogestérones,

– antiœstrogènes (SERM : Selective Estrogen Receptor Modulator).

• Traitements chirurgicaux :

– hystérectomie,

– myomectomie par cœlio ou par hystéroscopie,

– embolisation,

– laser, ultrasons.

Les indications sont fonction des symptômes, du nombre, de la localisation et de la taille des fibromyomes, de l’âge de la femme, de son statut pré ou post ménopausique et de son désir de maternité (cf. illustration).

Pour la pratique, on retiendra :

Tumeurs bénignes : touchent 20 % des femmes de 30 ans, 40 % des femmes de 50 ans.

Signes cliniques évidents.

Examens : affirment le diagnostic.

Surveillance : anémie, hémorragie.

Rôle pédagogique de l’infirmière sur la conduite à tenir suivant l’âge et les mesures thérapeutiques.

FIBROMYALGIE

Ensemble de symptômes chroniques associant douleurs des muscles, tendons, articulations, associés à une fatigue, souvent à un trouble anxio-dépressif, responsables d’une invalidité professionnelle.

Prédominance féminine nette, bilan inflammatoire et musculaire normaux (VS, CPK, EMG…).

Traitement par repos, rééducation douce, traitements antidépresseurs tricycliques ou sérotoninergiques à petites doses.

FIBROSE PULMONAIRE DIFFUSE

Voir Pneumopathie interstitielle.

FIBROSE RÉTROPÉRITONÉALE

Causes

Elle est soit idiopathique, soit associée à un cancer (extension, métastases, paranéoplasique), à un anévrisme de l’aorte, soit iatrogène (méthysergide, β-bloquants, phénacétine, halopéridol) (cf. illustration).

Signes cliniques et paracliniques

Ils sont dus à l’envahissement des organes rétropéritonéaux : veine cave inférieure visible à la cavographie traduite par des œdèmes; bas uretères avec hydronéphrose, traduite par des épisodes d’anurie à éclipse, de lombalgies à bascule; douleurs traduisant un envahissement des racines sacrées. Le scanner multibarrettes sans injection, l’IRM avec injection de gadolinium font le diagnostic. Un scanner thoracique, des explorations conduites sur la clinique (mammographie, endoscopie digestive, marqueurs tumoraux) sont réalisés à la recherche d’une extension de la fibrose à d’autres organes et à la recherche d’une étiologie. Dans 70 % des cas, la fibrose est idiopathique.

Fibrose rétropéritonéale : attraction des deux uretères sur la ligne médiane, réalisant à droite l’aspect en siphon. Cliché d’urographie intraveineuse. 1. Hydronéphrose; 2. Siphon.

Traitement

Le cathétérisme des uretères avec des sondes en double J, l’intrapéritonisation des uretères évitent la destruction des reins. Les corticoïdes, les immunosuppresseurs, le Taxotere, l’irradiation suivant l’étiologie ont un effet variable.

FIESSINGER-LEROY-REITER (syndrome oculo-urétrosynovial de)

Définition

Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter est une oligo-arthrite touchant les grosses articulations et qui survient chez l’homme jeune avec terrain génétique particulier (antigène HLA B27) (→ Polyarthrites). Il rentre dans le vaste cadre des arthrites réactionnelles (→ Arthrites, généralités).

Causes

L’affection survient le plus souvent dans un contexte postinfectieux en particulier digestif (diarrhée) ou génital (à Chlamydia).

Évolution

Elle se fait par poussées, les articulations étant touchées les unes après les autres, en 3 semaines à 6 mois. Les risques majeurs sont la récidive ou l’évolution vers une spondylarthrite ankylosante.

Traitement

À la phase aiguë, le repos est souvent nécessaire, les antalgiques à dose suffisante sont utiles, et les anti-inflammatoires non stéroïdiens représentent le traitement essentiel.

L’antibiothérapie ne constitue pas le traitement de la poussée du syndrome de FLR, dont les manifestations articulaires ne sont pas influencées mais celui d’une éventuelle infection génitale, en particulier à Chlamydia.

En cas d’évolution sur un mode chronique on peut être conduit à prescrire un traitement de fond comme dans la polyarthrite rhumatoïde, et en particulier la salazopyrine.

FIÈVRE AU RETOUR D’UN PAYS TROPICAL

La fièvre est un motif de consultation fréquent après un séjour en région tropicale. L’analyse du type de la fièvre, les signes associés, les pays visités permettent une approche diagnostique. Dans environ la moitié des cas, la fièvre est sans rapport avec le séjour en zone tropicale : virose, pathologie inflammatoire ou néoplasique…

L’interrogatoire doit être précis : durée du séjour et délai depuis le retour, zone visitée, prophylaxie antipalustre, précautions prises pour l’alimentation, notion d’un contage, piqûres d’insectes, baignades en rivière, contages sexuels à risques. Parmi les signes associés doivent être recherchés : céphalées et frissons (paludisme, méningites), une diarrhée ou un syndrome dysentérique (turista, typhoïde, shigellose, yersinioses, infection à campylobacter, amibiase…), des symptômes d’ordre allergique (urticaire, arthralgies) évoquant une migration larvaire (bilharziose, ascaridiose, distomatose), des lésions cutanées (bouton d’Orient, rickettsioses, peste, primo-infection VIH…), des signes hématologiques avec polyadénopathies, hépatosplénomégalie (trypanosomiase, leishmaniose viscérale…), un ictère associé ou non à des signes hémorragiques (hépatites virales, arboviroses).

Le diagnostic repose sur des examens complémentaires ciblés en fonction des données de l’anamnèse et de la clinique : frottis sanguin, hémocultures, examen bactériologique et/ou parasitologique des selles, sérologies virales et parasitaires, étude du LCR.

Le paludisme (→) doit être évoqué en priorité, car il représente une urgence thérapeutique.

FIÈVRE JAUNE

Définition

C’est une arbovirose, liée au virus amarile (groupe des flavivirus) transmise par des arthropodes. Il existe environ 200 000 cas par an dont 30 000 décès.

Causes et mécanismes

Elle sévit à l’état endémique dans les zones intertropicales d’Afrique et d’Amérique. C’est une maladie animale (singe) transmise par des moustiques à l’homme.

Signes essentials

Cliniques : la forme sévère réalise une hépatonéphrite aiguë. Après une incubation de 5 jours le début est brutal : fièvre à 40 °C, céphalées, courbatures, vomissements, altération de l’état général. À la phase dite « rouge » (faciès congestif, injection conjonctivale), fièvre, céphalées et vomissements persistent. Une accalmie précède la phase dite « jaune » avec ictère, vomissements sanglants et oligurie avec protéinurie.

Examens complémentaires : le diagnostic est confirmé par l’isolement du virus dans le sang (3 premiers jours) et l’élévation des anticorps à des prélèvements successifs.

Traitement et prognostic

Le pronostic est grave. Il n’y a pas de traitement spécifique. Il faut : isoler le malade et les sujets contacts, déclarer la maladie, faire une enquête épidémiologique et vacciner la population. La vaccination doit être faite dans les centres agréés par l’OMS, elle est obligatoire pour se rendre dans certains pays d’endémie.

FIÈVRE DU NOURRISSON

Définition

Température supérieure à 37,8 °C. On parle d’hyperthermie modérée entre 37,8 et 38,5 °C, élevée au-dessus de 38,5 °C. Hyperthermie majeure au-dessus de 40,5 °C.

Causes et mécanismes

Infection virale le plus souvent ou bactérienne. Risque d’hyperthermie majeure en cas de faillite des mécanismes d’adaptation de l’organisme (enfant trop couvert, ambiance trop chaude, pertes digestives, apports hydriques insuffisants).

Évolution et complications

En dehors des complications liées à certaines étiologies, le principal risque est celui de convulsions (entre 6 mois et 5 ans); plus rarement déshydratation, voire hyperthermie majeure (collapsus, convulsions et coma, hémorragies digestives, anurie).

Traitement

Lutte contre la fièvre par :

• moyens physiques : découvrir l’enfant; température de la pièce entre 17 et 19 °C, humidifier l’enfant plutôt que de le baigner, le faire boire abondamment. Le refroidissement externe, souvent préconisé, ne se justifie qu’en cas d’hyperthermie majeure engageant le pronostic vital, notamment chez un nourrisson déshydraté et surcouvert. Il est inutile dans les autres cas;

• traitement médicamenteux (cf. tableau).

Fièvre du Nourrisson

TOLÉRANCE	BONNE	MAUVAISE
Faciès	vultueux	pâle, cyanosé
Conscience	normale	somnolence
Cri	vigoureux	geignard
Téguments	érythrosiques, chauds	marbrés, froids
Temps de recoloration	immediate	allongé

Médicaments Antipyrétiques

FIÈVRE Q

Voir Rickettsioses.

FIÈVRE TYPHOÏDE

Définition

C’est une toxi-infection généralisée à point de départ lymphatique mésentérique due aux bacilles typhique et paratyphique (bacille à Gram négatif).

Causes et mécanismes

C’est une maladie strictement humaine, due au bacille d’Eberth et aux bacilles paratyphiques A, B, C. La dissémination est liée à l’élimination fécale des germes (malades ou porteurs sains); la transmission peut aussi être indirecte (ingestion d’eau, de coquillages, de légumes pollués). Les germes ingérés traversent la muqueuse et parviennent aux ganglions mésentériques, puis sont déversés dans la circulation générale, ensuite ils repassent dans l’intestin par les voies biliaires et sont éliminés par les selles et les urines. L’endotoxine (libérée au niveau des ganglions) imprègne le système sympathique abdominal, les centres nerveux centraux et aussi le myocarde et le tissu rénal.

Taches rosées de la fièvre typhoïde.

Signes essentials

Cliniques

Après une incubation de deux semaines, le début est progressif, marqué par : céphalées, insomnies, vertiges, épistaxis, troubles digestifs et une fièvre qui s’élève en oscillations ascendantes; le pouls est dissocié, l’abdomen est météorisé, la fosse iliaque droite gargouillante, une splénomégalie est possible. La 2e semaine, la fièvre est en plateau à 40 °C, le tuphos peut comprendre un délire onirique et des mouvements stéréotypés, il existe une diarrhée ocre. Des taches rosées, évoluant par poussées, peuvent se voir sur l’abdomen et la base du thorax; on observe parfois une ulcération de l’amygdale (angine de Duguet). En fait, les formes atypiques, notamment frustes et atténuées, sont fréquentes (cf. illustration).

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Tags: Dictionnaire médical de linfirmière

Jun 17, 2017 | Posted by admin in GÉNÉRAL | Comments Off

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