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CANAL ARTÉRIEL









CANAL LOMBAIRE ÉTROIT


On regroupe sous ce terme les manifestations cliniques en relation avec le rétrécissement, congénital ou acquis, du calibre de la partie inférieure du canal lombaire, en général chez un sujet âgé.


Il contient le cône terminal de la moelle épinière qui se termine à la partie supérieure de la 2e vertèbre lombaire et se prolonge par le « filum terminale » qui forme avec les dernières racines nerveuses lombaires et sacrées la « queue de cheval ».


Le cul-de-sac dural contient la moelle et les racines de la queue de cheval; c’est là que l’on prélève le liquide céphalo-rachidien.


À l’état pathologique, le calibre du canal lombaire peut être rétréci :












CANCER BRONCHIQUE PRIMITIF







Examens complémentaires


La radiographie pulmonaire montre l’image directe sous forme d’une opacité à limites irrégulières, de siège variable. Cette image peut être masquée par les signes indirects : atélectasie, épanchement pleural, abcès.


La tomodensitométrie thoracique est essentielle. Elle précise la taille, les limites de la lésion, sa topographie, ses rapports avec la plèvre, la paroi thoracique, le médiastin, et l’atteinte ganglionnaire médiastinale.


La fibroscopie bronchique montre la lésion, sauf dans les formes distales, et permet le diagnostic de certitude par l’examen histologique des biopsies, ou cytologique des sécrétions prélevées par aspiration bronchique.


Le bilan doit comporter :







Au terme de ce bilan le cancer est classé selon la classification TNM. : T pour la taille de tumeur; N pour l’envahissement ganglionnaire; et M pour les métastases.





Traitement et pronostic


Le traitement des carcinomes non à petites cellules repose sur la chirurgie d’exérèse (lobectomie, bilobectomie, pneumonectomie). Elle n’est proposée que si la tumeur est extirpable en totalité (absence d’extension aux organes de voisinage et à la plèvre, absence d’extension ganglionnaire inextirpable) et s’il n’existe pas de métastase.


Le bilan de l’extension ganglionnaire est habituellement réalisé par tomodensitométrie; dans certains cas, s’il existe un doute, on peut avoir recours à la médiastinoscopie.


Il faut, en outre, vérifier que l’exérèse est fonctionnellement réalisable (s’assurer que les capacités ventilatoires prévisibles après l’intervention seront suffisantes).


La chirurgie avec exérèse complète est actuellement la seule chance d’obtenir une survie prolongée : le taux de survie dépasse 50 % à 5 ans dans les formes limitées sans atteinte ganglionnaire médiastinale, opérées précocement.


Il est démontré actuellement qu’une chimiothérapie encadrant la chirurgie améliore la survie des patients. Des incertitudes persistent concernant le meilleur schéma d’association de la chimiothérapie et de la chirurgie :





Le traitement des formes inopérables repose sur la chimiothérapie et la radiothérapie.


Le nombre des cytotoxiques actifs dans ces cancers a augmenté au cours des dernières années. Les traitements de référence, en première ligne associent cisplatine et vinorelbine (Navelbine) ou bien cisplatine et gemcitabine (Gemzar). Les taxanes (Taxol et Taxotère) peuvent également être utilisés.


La radiothérapie n’est réservée qu’aux formes non métastatiques. Sa cible est étendue, comportant la tumeur, les chaînes ganglionnaires médiastinales, et sus-claviculaires.


Elle peut être utilisée de façon isolée, ou associée à la chimiothérapie.


En cas d’association à la chimiothérapie, le traitement peut être :




Le pronostic de ces formes inopérables reste médiocre. Seul un pourcentage limité de patients répondeurs au traitement ont une survie augmentée.


Le traitement des carcinomes à petites cellules repose sur la polychimiothérapie qui doit être débutée rapidement, car ces tumeurs ont une évolution locorégionale et métastatique rapide. Elles sont le plus souvent chimio- et radiosensibles.


Dans les formes limitées au thorax, le traitement comporte une association radio-chimiothérapique selon une chronologie variable : traitement concomitant, séquentiel ou encore en alternance. Les drogues habituellement utilisées, en association, sont le platine, le VP16, l’Endoxan et l’Adriamycine; la vincristine et le méthotrexate sont également efficaces. La radiothérapie locorégionale est associée à une irradiation encéphalique prophylactique, compte tenu de la grande fréquence de survenue de métastases cérébrales.


Dans ces formes limitées traitées précocement, on obtient un taux élevé de réponses au traitement, mais les rechutes sont fréquentes, survenant souvent au cours de la 2e année.


Dans les formes métastatiques, on utilise la polychimiothérapie, les deux drogues de référence étant le platine et le VP16. La radiothérapie cérébrale est indiquée en cas de métastase encéphalique. La radiothérapie osseuse est indiquée au niveau des métastases osseuses algiques.


Le traitement symptomatique est proposé à tous les stades de la maladie :









CANCER BRONCHO-PULMONAIRE SECONDAIRE










CANCER DE LA CAVITÉ BUCCALE




CARCINOMES ÉPIDERMOÏDES DE LA CAVITÉ BUCCALE













CANCER DU CÔLON





Causes et mécanismes



Facteurs pathogéniques


Différents facteurs pathogéniques sont envisagés :





Plusieurs facteurs de risque sont connus :







La méthode de dépistage de référence des polypes et des cancers (au début) est la coloscopie chez les sujets à risque. La recherche de sang dans les selles (Hemoccul II) (→) n’est indiquée que dans les dépistages de masse mais pas à titre individuel, du fait du nombre important de faux positifs et négatifs (cf. illustration).





Traitement et pronostic






CANCER DU COL UTÉRIN







Signes essentiels


Cliniques : il n’existe des signes que pour les cancers invasifs déjà évolués : métrorragies, souvent provoquées, isolées ou associées à des leucorrhées indolores.


L’examen gynécologique est pratiqué de façon systématique.


La mise en place du spéculum sans lubrifiant révèle une lésion cervicale ou non :





Les examens complémentaires sont indispensables : frottis cervico-vaginaux montrant des cellules de classe IV ou V, une colposcopie avec test de Schiller orientera les biopsies faites à cheval sur la zone saine et la zone iodo-négative ou sur toute zone suspecte.


Au terme de ces examens, on s’efforce d’évaluer le stade de la tumeur par la classification TNM/FIGO. Le bilan général est complété par une radiographie pulmonaire et une échotomographie hépatique.




Traitement dans les cancers invasifs


Traitement curatif : deux méthodes sont surtout utilisées : la chirurgie et la radiothérapie :






Traitement préventif : dépistage par les frottis cervico-vaginaux ainsi que par le traitement de toutes les lésions du col.







CANCER DE L’ENDOMÈTRE






Signes essentiels








CANCER DE L’ESTOMAC


Jun 17, 2017 | Posted by in GÉNÉRAL | Comments Off on C

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