Limites

Si on le considère isolément du reste du corps, le thorax est limité par :

Constituants

L’espace thoracique comprend :

Colonne thoracique

Sa morphologie est :

Fig. 1.2 Vertèbres thoraciques selon Brizon et Castaing [2].

Les surfaces articulaires supérieures sont orientées vers le haut et l’arrière. Les surfaces articulaires inférieures sont concordantes.

Les vertèbres thoraciques se caractérisent par la présence de demi-facettes articulaires costales :

Vertèbre thoracique type [1, 2]

De T2 à T11, les vertèbres thoraciques ont les mêmes caractéristiques.

Corps (figure 1.3)

Il est volumineux ; son diamètre transverse est identique à son diamètre antéropostérieur. Le corps est régulièrement arrondi, sauf en arrière où il forme une concavité en arrière. Son volume, le double de celui de la colonne cervicale, augmente de la première à la douzième vertèbre.

Fig. 1.3 Vues d’une vertèbre thoracique typique. A. Vue supérieure. B. Vue de profil.

Sur sa circonférence se trouvent, de chaque côté, deux petites surfaces articulaires : les demi-facettes articulaires costales situées sur la partie la plus postérieure des faces latérales :

• la demi-facette supérieure, située près du bord supérieur regarde vers l’extérieur et le haut ; elle est concave d’avant en arrière et convexe de haut en bas ;

• la demi-facette inférieure, située près du bord inférieur, regarde vers l’extérieur et le bas ; elle occupe la pointe d’un tubercule latéral.

Ces demi-facettes forment avec les demi-facettes costales des vertèbres sus- ou sous-jacentes un angle rentrant qui s’articule avec la tête costale (figure 1.4).

Fig. 1.4 Vue de profil d’une vertèbre thoracique selon Brizon et Castaing [2].

Pédicules

Ils partent de la moitié supérieure du bord postéro-latéral du corps. Ils sont aplatis transversalement, très légèrement obliques vers l’arrière et l’intérieur.

Le bord supérieur est légèrement concave vers le haut. Le bord inférieur très échancré forme la quasi-totalité du foramen intervertébral.

Lames

Elles sont quasiment transversales, aplaties d’avant en arrière et aussi hautes que larges. Ce sont des quadrilatères aussi longs que larges, épais, obliques vers l’arrière et l’intérieur ; leurs bords supérieurs convergent en un V ouvert vers le haut et l’avant ; leur face antérieure présente dans sa moitié inférieure des rugosités où s’insèrent les ligaments jaunes (figure 1.5).

Fig. 1.5 Vue de la face supérieure d’une vertèbre thoracique selon Brizon et Castaing [2].

Apophyse épineuse

Elle est prismatique et triangulaire ; très oblique vers le bas et l’arrière, longue. Son sommet ne présente qu’un tubercule.

Apophyses transverses

Elles naissent d’une seule racine au niveau de l’union de la lame avec le pédicule. Elles se dirigent vers l’extérieur et légèrement en arrière. Elles sont aplanies d’avant en arrière. Leur sommet présente sur son versant antérieur une facette articulaire pour la tubérosité costale.

Apophyses articulaires

Les supérieures se situent devant et au-dessus des apophyses transverses. Elles s’insèrent par une base large sur la partie supérieure des pédicules et la partie antérieure des lames. Leur face postérieure porte la surface articulaire. Elles sont orientées vers l’arrière et légèrement vers l’extérieur et le haut.

Les inférieures sont de simples facettes articulaires faisant saillie sur la partie latérale des faces antérieures des lames. Elles sont orientées vers l’avant et légèrement vers le bas et l’intérieur (figure 1.6).

Fig. 1.6 Orientation des facettes articulaires dorsales selon Brizon et Castaing [2].

Canal vertébral

Il est plus ou moins circulaire.

Particularités de certaines vertèbres [2]

Première vertèbre thoracique

C’est une vertèbre de transition entre les vertèbres cervicales et les vertèbres thoraciques. Son corps est élargi transversalement et ressemble à celui de la colonne cervicale. Il possède de chaque côté une seule facette articulaire destinée à la première côte ; son apophyse épineuse est pour le moins proéminente.

Dixième vertèbre thoracique

Elle ne présente pas de demi-facette articulaire costale inférieure. La surface articulaire des apophyses transverses est inconstante.

Onzième vertèbre dorsale

Son corps présente une seule facette costale, située près du bord supérieur et répondant à la onzième côte. Son apophyse épineuse est légèrement oblique vers le bas et l’arrière. Ses apophyses transverses sont courtes et ne portent pas de facettes articulaires costales.

Douzième vertèbre thoracique

C’est une vertèbre de transition qui commence à présenter les caractéristiques des vertèbres lombaires : corps plus volumineux, apophyse épineuse moins oblique. Son corps, plus volumineux, présente une seule facette costale pour la douzième côte. Ses apophyses articulaires inférieures sont orientées vers l’extérieur et l’avant. Il faut noter l’absence de facette costale inférieure et transverse (figure 1.7).

Fig. 1.7 Orientation des facettes articulaires de T12.

Côtes [1, 2, 8]

Selon la description de Brizon et Castaing [2], ce sont des os plats, très allongés, en forme d’arc à concavité interne. Les côtes limitent latéralement le thorax et constituent le « gril » costal. Au nombre de douze de chaque côté, elles sont numérotées de haut en bas. Elles s’articulent en arrière à la colonne vertébrale ; vers l’avant, elles se prolongent par les cartilages costaux pour former les arcs costaux :

L’ensemble des arcs costaux forme la plus grande partie du squelette du thorax.

Caractères généraux des côtes [8]

Les côtes sont inclinées de haut en bas et d’arrière en avant.

Direction

Elles se dirigent, toutes assemblées, obliquement vers le bas et l’avant, décrivant une courbe concave vers l’intérieur. L’inclinaison augmentant de la première à la douzième côte. Ce faisant, elles changent trois fois de direction et chaque segment est séparé par deux angles, antérieur et postérieur. Elles divergent entre elles vers l’avant de telle sorte que la hauteur du thorax est plus faible vers l’arrière que vers l’avant. Leur longueur augmente de la première à la septième côte puis diminue de la huitième à la douzième. Décrivant un arc, elles présentent en réalité trois courbures.

Courbures

On en distingue trois types [2, 8] :

• la courbure d’enroulement : courbure « selon les faces », de concavité interne ;

• la courbure de torsion, courbure « selon l’axe » ; ainsi, à l’arrière, la face latérale est orientée vers le bas et l’extérieur, et devant la face latérale regarde vers le haut et l’extérieur ;

• la courbure selon les bords est telle que les deux extrémités ne se trouvent pas sur le même plan horizontal.

Ces trois courbures confèrent à la côte une forme de S en italique.

Courbure selon les faces [2, 8]

Il s’agit d’une courbure d’enroulement de convexité externe irrégulière, dont le rayon augmente d’arrière en avant.

De l’arrière vers l’avant, chaque côte :

• commence par se diriger vers le bas, l’extérieur et légèrement en arrière ;

• se plie brutalement au niveau de l’angle postérieur ;

• continue vers l’avant et le bas selon une courbe régulière (figure 1.8) ; ces courbes n’existent pas sur les deux premières et les deux dernières côtes ;

• se plie au niveau de l’angle antérieur (bien moins saillant que l’angle postérieur) ;

• se dirige vers le haut et l’avant jusqu’à rencontrer le cartilage.

Fig. 1.8 Torsion hélicoïdale des côtes selon Brizon et Castaing [2].

Courbure selon les bords [2, 8]

Les bords forment un S en écriture cursive de telle sorte que :

• l’extrémité postérieure est plus haute que la partie moyenne ;

• l’extrémité antérieure est plus basse.

Courbure selon l’axe [2, 8]

Il s’agit d’une courbure de torsion autour de l’axe de la côte de telle sorte que la face externe regarde :

• vers le bas et l’arrière, dans son segment postérieur ;

• directement vers l’extérieur dans sa partie moyenne ;

• vers le haut et l’avant dans son segment antérieur.

Corps

Si l’on décrit chaque côte, elle possède un corps et deux extrémités. C’est la partie la plus longue. Sa face externe dessine deux angles. La gouttière costale héberge le paquet vasculo-nerveux intercostal. Aplani de dehors en dedans, il présente deux faces et deux bords.

Face externe

Convexe, divisée en trois segments par les deux angles, antérieur et postérieur (figure 1.9), elle est le lieu d’insertion de nombreux muscles :

• dans la partie postérieure, les muscles :

– long dorsal ;

– lombosacré ;

– surcostal ;

– petit dentelé postéro-supérieur de la deuxième à la cinquième côte ;

– petit dentelé postéro-inférieur sur les quatre dernières côtes ;

• dans la partie antérieure, les muscles :

– grand oblique sur les sept ou huit dernières côtes ;

– grand droit sur la cinquième ;

– grand pectoral sur les quatrième, cinquième et sixième ;

– petit pectoral sur les troisième, quatrième et cinquième ;

– grand dentelé sur les dix premières ;

– grand dorsal sur les dernières.

Fig. 1.9 Insertions sur la face externe des côtes selon Cady et Kron [3].

Face interne

Lisse, concave d’avant en arrière, dans ses deux tiers postérieurs, elle se divise en deux portions :

• supérieure qui correspond à la plèvre ;

• inférieure, ou gouttière costale, qui correspond au paquet vasculo-nerveux intercostal (figure 1.10).

Fig. 1.10 Insertions sur la face interne des côtes selon Cady et Kron [3].

Remarque : La mobilité et l’élasticité costales sont très influencées par l’action des muscles : un spasme musculaire aura des répercussions sur la forme et la mobilité d’une côte [8].

Elle est limitée par deux lèvres :

• la lèvre externe formée par le bord inférieur de la côte ;

• la lèvre interne qui s’unit vers l’avant à la lèvre externe.

Elle donne insertion :

• au diaphragme et au muscle transverse de l’abdomen sur les quatre dernières côtes ;

• au muscle intercostal moyen, juste sur le bord inférieur ;

• au muscle intercostal interne sur la lèvre interne de la gouttière costale ;

• au muscle sous-costal au-dessus de la gouttière costale près de l’angle postérieur.

Bord supérieur

Lisse et épais en arrière, il s’affine vers l’avant.

Lieu d’insertion des trois muscles intercostaux :

• externe ;

• médian ;

• et interne.

Bord inférieur

Fin, il forme la lèvre inféro-externe de la gouttière costale.

Lieu d’insertion du muscle :

• intercostal externe ;

• petit oblique sur les trois dernières côtes.

Extrémité postérieure

Elle est formée de trois parties : la tête, la tubérosité et le col.

Tête

Ayant une forme de dièdre saillant, elle présente deux facettes articulaires correspondant aux demi-facettes costales des corps vertébraux sus et sous-jacents. L’union de ces deux facettes est marquée par une crête horizontale qui donne insertion au ligament interosseux costo-vertébral. Elle est formée de deux facettes qui dessinent un angle dièdre de bord interne antéropostérieur :

• le bord répond au disque intervertébral et donne insertion au ligament interosseux ;

• les deux facettes correspondent aux facettes costales des corps vertébraux.

Les ligaments costo-vertébraux antérieur et postérieur s’insèrent sur le devant et sur l’arrière.

Col

Il unit la tête à la tubérosité. Il est aplati d’avant en arrière. Il forme avec l’apophyse transverse de la vertèbre correspondante la limite du foramen costo-transversaire. Il est le lieu d’insertion du ligament costo-transversaire interosseux (figure 1.11).

Fig. 1.11 Insertions sur la tête et le col des côtes selon Cady et Kron [3].

Sa face postérieure, rugueuse, est le lieu d’insertion des ligaments :

• cervico-transversaire supérieur, près du bord supérieur ;

• cervico-transversaire interosseux ;

• cervico-lamellaire, au-dessus du précédent.

Tubérosité costale

Il s’agit d’une protubérance qui occupe la face externe de l’extrémité postérieure de la côte. Elle présente deux segments : dans sa partie inféro-interne, une facette qui s’articule avec l’apophyse transverse ; dans la partie supéro-interne, la zone d’insertion du ligament costo-transversaire postérieur.

Elle est séparée en deux portions par un sillon oblique vers le bas et l’extérieur :

• la portion inféro-interne est orientée vers l’arrière et légèrement vers le bas ; elle s’articule avec l’apophyse transverse ;

• la portion supéro-externe est le lieu d’insertion du ligament costo-transversaire postérieur ; sur son bord inférieur, s’insère le ligament costo-transversaire inférieur.

Extrémité antérieure

Elle se termine par une facette ovale ayant la forme d’une cupule qui reçoit l’extrémité externe du cartilage costal.

Insertions sur la face externe des côtes

• Les muscles pectoraux :

– le muscle grand pectoral : sur les six premiers arcs costaux (les quatre premières insertions sont chondrales) ;

– le muscle petit pectoral : sur les troisième, quatrième et cinquième côtes ;

– le muscle grand dentelé : sur les neuf premières côtes.

• Les muscles petits dentelés :

– postérieur et supérieur sur les cinq premières côtes ;

– postérieur et inférieur sur les quatre dernières côtes.

• Le muscle long dorsal sur les quatre dernières côtes.

• Le muscle droit antérieur de l’abdomen sur les cinquième, sixième et septième cartilages et sur la cinquième côte.

• Le muscle grand oblique de l’abdomen sur les sept ou huit dernières côtes.

• Le muscle petit oblique de l’abdomen sur les neuvième, dixième, onzième cartilages et sur la douzième côte.

• Le muscle grand dorsal sur les neuf dernières côtes.

• Les muscles scalènes :

– antérieur et moyen sur la première côte ;

– postérieur sur la deuxième côte.

• Les muscles surcostaux et ilio-costaux sur les 12 côtes. Sur le bord postérieur et les gouttières costales.

• Les muscles intercostaux.

Sur la face interne des côtes :

• le diaphragme et le muscle transverse de l’abdomen sur les six dernières côtes (le muscle triangulaire du sternum s’insère sur le troisième, le quatrième et le cinquième cartilage).

Cartilages costaux

Aplatis, ils présentent une face antérieure convexe, une face postérieure concave. Leur longueur augmente du premier au septième puis décroît du septième au dixième.

Le premier cartilage est oblique vers le bas et l’intérieur.

Les deuxième et troisième sont horizontaux.

Les quatrième, cinquième, sixième, septième et huitième sont obliques vers le haut et l’intérieur. Les sixième, septième et huitième cartilages s’articulent entre eux par leurs bords.

Les onzième et douzième cartilages ne sont pas articulés avec le sternum et prolongent la direction de la côte correspondante (figure 1.12).

Fig. 1.12 Cartilages costaux selon Brizon et Castaing [2].

Caractères propres à certaines côtes

Première côte

C’est la côte la plus large et la plus courte. Très oblique vers le bas et l’avant, elle limite l’orifice supérieur du thorax. Elle est très différente des autres côtes :

• aplatie de haut en bas, elle présente deux faces, une supérieure et une inférieure ;

• très enroulée ;

• son corps est plus court.

Son corps présente deux faces : supérieure et inférieure.

La face supérieure se divise en deux portions :

• une portion postérieure ou musculaire sur laquelle s’insère le muscle ilio-costal sur le versant externe et le muscle scalène moyen sur le versant interne ;

• une portion antérieure ou vasculaire qui porte le tubercule de Lisfranc sur lequel s’insère le muscle scalène antérieur (figure 1.13).

Fig. 1.13 Insertions sur la première côte selon Cady et Kron [3].

Ce tubercule est encadré de deux gouttières : celle de l’artère sous-clavière en arrière et celle de la veine en avant.

L’artère peut se trouver comprimée dans le défilé des scalènes, en particulier lorsqu’il existe une côte surnuméraire cervicale.

Corps

Il est formé de deux segments repliés l’un sur l’autre.

Face supérieure

Dans le segment postérieur, elle se divise en deux portions :

• la portion interne, excavée en gouttière, sur laquelle, au niveau du tiers antérieur, s’insère le muscle scalène moyen ;

• la portion externe, lisse, sur laquelle, dans sa partie moyenne, s’insère le muscle petit dentelé postéro-supérieur.

Dans le segment antérieur, elle est large. Le tubercule de Lisfranc, lieu d’insertion du scalène antérieur, se situe près du bord interne.

Deux gouttières passent devant et derrière le tubercule et convergent à l’extérieur de celui-ci. Dans celles-ci passent :

• pour l’antérieure, la veine sous-clavière ;

• pour la postérieure, l’artère sous-clavière.

En arrière de la gouttière artérielle, près du bord externe s’insère la digitation supérieure du grand dentelé.

Près de l’extrémité antérieure s’insèrent :

• le muscle sous-clavier ;

• les deux faisceaux du ligament costo-claviculaire.

Face inférieure

Lisse, elle répond à la cupule pleurale.

Insertions :

• muscle intercostal moyen, le long du bord externe ;

• muscle intercostal interne, juste au-dedans du précédent.

Bord interne

Il est concave, arrondi et lisse.

Bord externe

Lisse en arrière, il est plus fin vers l’avant avec une insertion de l’intercostal externe.

Extrémité postérieure

Elle s’aplatit de haut en bas et forme, avec le corps, un angle presque droit.

Tête

Elle ne présente qu’une seule facette qui s’articule avec la facette correspondante de la première vertèbre thoracique.

Col

Il s’aplatit de haut en bas.

La face supérieure est souvent divisée en deux portions par une crête longitudinale. En arrière s’insère le premier muscle surcostal. Elle est excavée par une gouttière qui répond au passage de C8.

La face inférieure est plane et lisse. Le bord antérieur est fin et lisse. Sur le bord postérieur, épais et rugueux, s’insère le ligament interosseux cervico-transversaire.

Tubérosité

Elle est très saillante. Sa facette articulaire correspond à l’apophyse transverse de T1.

Son extrémité postérieure :

• la tête présente une seule facette articulaire ;

• le col répond au troisième tronc primaire (C8 et T1) ;

• la tubérosité occupe le bord externe.

Insertions :

• face supérieure : premier muscle surcostal, muscle ilio-costal, petit dentelé postérieur et supérieur, scalène moyen et antérieur, sous-clavier, intercostal externe du premier espace ;

• face inférieure : intercostaux moyen et interne du premier espace.

Extrémité antérieure

Très épaisse, elle s’articule avec le premier cartilage costal qui est très court.

Deuxième côte

Elle a une constitution intermédiaire entre les côtes moyennes et la première côte. Le deuxième muscle sous-costal s’insère sur le col. Le corps présente deux faces : supéro-externe et inféro-interne. Le scalène postérieur s’insère sur son bord supéro-interne. Elle ne présente pas de gouttière costale.

Onzième et douzième côtes (ou côtes rénales)

Ce sont les côtes flottantes, l’extrémité antérieure de l’arc costal étant libre. Elles s’enroulent à peine sur leurs faces. Leurs extrémités postérieures ne présentent pas de tubérosité. La tête ne possède qu’une seule facette articulaire. La douzième côte ne possède pas de gouttière costale. Sa longueur est très variable :

• parfois longue (mais moins que la onzième côte) et oblique vers le bas et l’extérieur ;

• parfois courte et horizontale (figure 1.14).

Fig. 1.14 Côtes flottantes.

Only gold members can continue reading. Log In or Register to continue

Related

Related posts:

10: Généralités sur les techniques de traitement en médecine ostéopathique 3: Neurophysiologie et ostéopathie 5: Douleur référée musculaire ou syndrome myo-fascial par « point gâchette » ou trigger point 8: Diagnostic ostéopathique 12: Techniques costales 11: Techniques pour la colonne vertébrale dorsale

Stay updated, free articles. Join our Telegram channel

Join